1. COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Les randonneurs suédois (1/1)


    Datte: 28/04/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... cuisse d’Ingemund.
    
    Ceci à quelques centimètres de son bâton.
    
    Le froid de l’eau faisait que sa barre était au repos, mais j’ai eu envie de la réveiller.
    
    Sans avoir l’air d’y toucher c’est ce que j’ai fait.
    
    Mieux je l’ai fait résolument, la saisissant entièrement depuis sa base.
    
    Un instant étonné, le garçon a réagi en se levant et me présentant sa jeune verge à ma bouche.
    
    Comme je l’ai dit, je suis une vieille salope et sans la lâcher, je me suis mise à lui téter le gland.
    
    En peu de temps, le froid qui anesthésiait sa verge, disparaissait et le sang de nouveau, s’est mis à être pulsé du cœur, la raidissant rapidement.
    
    Une belle queue, que je me suis mise à sucer sans vergogne, vite suivie d’une seconde puis d’une troisième.
    
    Je les ai sucées les trois.
    
    Les trois bandaient allègrement.
    
    Je sentais qu’une simple pipe me rendrait insatisfaite, alors je me suis dégagée afin de me glisser à quatre pattes sur le carré d’herbe tendre au-dessus du cresson tapissant ma baignoire, facteur de la pureté de l’eau.
    
    Il est connu que cette plante très fragile pousse dans ce genre d’endroit dans une eau d’une pureté incomparable.
    
    Je sais, je fais pipi parfois dedans, mais les filets que je forme en me vidant la vessie, sont attirés vers le retour sous la terre évitant de toucher le cresson.
    
    Je suis en levrette, et lorsque je tourne la tête, c’est un des jumeaux que je vois entrer en moi, m’arrachant un Ah ! de surprise et de plaisir.
    
    C’est dans un ...
    ... tourbillon, que je me suis retrouvée, l’un me quittant pendant que l’autre me reprenait immédiatement.
    
    L’un passant devant pour me relever la tête que j’avais posé sur mes bras pour mieux me la remettre au fond de ma gorge.
    
    Je retrouvais le goût de ma cyprine quelques secondes avant de la nettoyer.
    
    J’éructe de plaisir chaque fois que ces verges se relaient, m’emportant plus haut que les sommets des monts du Jura.
    
    Je sais qu’en faisant tout ça, je deviens une chienne, une salope, une truie, une vide- couille et ce jour-là j’ai assumé.
    
    J’ai remis mon cul dans l’eau pour refroidie mon sexe en surchauffe et pour nettoyer le sperme qui le remplissait.
    
    J’en ai bu prenant de l’eau dans ma main, pour me nettoyer mes amygdales avec les longs jets que j’ai ingurgités par la verge la plus longue des trois.
    
    Cette aventure, je l’ai vécue il y a quelques jours.
    
    Le soir j’ignore où ces trois jeunes se sont rendus lorsqu’un orage a éclaté.
    
    Julien dans la formation qu’il m’a donnée afin que je puisse aller chercher des champignons au moment propice, m’a expliqué que les orages favorisaient leur pousse.
    
    AÀ à leur développement.
    
    En juillet, les chanterelles, les pieds-de-mouton sont faciles à reconnaître, même si l’amanite aime ces conditions, je sais comment les reconnaître.
    
    À l’orage, je sors donc à la cueillette de champignons.
    
    J’en ai un plein panier quand j’arrive à la source.
    
    Le chien Rust est là dans mes jambes.
    
    Il y a quelques jours que ce grand ...