COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Les randonneurs suédois (1/1)
Datte: 28/04/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Pierre, mon amant presque mon mari, s’investit dans le comité des fêtes de notre petite commune située sur les monts du Jura, là où nous avons acheté un chalet pour y passer une partie de notre retraite.
Une partie seulement, durant la belle saison, car dans ce coin de France, les hivers qui sont de plus en plus doux sont encore très rudes.
Notre chalet est à une heure de Mouthe, ville reconnue tous les ans comme la ville la plus froide de France.
Qui dit que l’on s’emmerde dans ces montagnes, certainement pas moi depuis que je me partage entre Pierre, vivant épisodiquement avec moi depuis mon divorce, et mes autres amis que je fréquente régulièrement lorsque je suis là-bas ?
C’est ensemble que nous avons acheté ce seul bien commun, ayant gardé nos maisons respectives près de Besançon, où je travaillais dans une entreprise de transports.
J’ai donc Pierre pour moi, mais aussi le père Lucien, fermier de son état, qui habite avec son fils à quelques centaines de mètres en contrebas de notre chalet.
Nous sommes obligés de garer nos voitures à côté de sa ferme avant de faire le reste du chemin à pied et je le croise presque chaque fois que je monte ou que je descends au village.
Qu’ai-je trouvé à ce paysan lorsqu’il m’a fait dénuder après que je sois rentrée d’une promenade avec son poney mâle, bizarrement surnommé Geneviève ?
Certes, l’orage y était pour beaucoup et mes habits étaient trempés, mais la bite de ce vieux salopard m’a très vite satisfaite, je ...
... dois le reconnaître en rougissant.
À part cette grosse bite qui me pourfend sans aucune retenue chaque fois qu’il arrive à me coincer sur la table de la cuisine, avec son pantalon trop large retenu par ses bretelles.
J’avoue qu’il est loin d’être à la hauteur de son fils.
Un jour, revenant d’aller au pain chez Madeleine, la pipelette du village, je suis rentrée dans la cuisine de la ferme.
J’avais une envie folle de me faire mettre un coup de bite par Lucien.
Il ravivait le feu en se grattant les couilles.
Ce jour-là j’ai compris pourquoi il aimait avoir ces pantalons trop larges.
J’avais aussi appris, chaque fois qu’il le faisait tomber pour que je le suce, qu’il était toujours sans sous-vêtements.
Ce jour-là, tout était identique à ses habitudes, seulement il bandait déjà très fort et j’ai pris mon plaisir lorsqu’il me pénètre d’une seule poussée.
Julien, son fils, c’est dans la nature qu’il aime me baiser, principalement le long d’un arbre quand nous allons chercher des champignons ou au bord de la source alimentant en eau mon chalet et leur ferme.
La première fois, c’était près de la source, en me promenant avec le poney, et lorsque je m’y suis arrêtée.
Je devrais dire que Geneviève nous y a conduit.
Il devait la connaître, Geneviève je le rappelle est un poney mâle surnommé comme cela à la désertion de la mère de Julien avec un bel Italien.
Le poney a donc refusé d’aller tout droit alors que nous passions sur le chemin tout près, il ...