1. COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Les randonneurs suédois (1/1)


    Datte: 28/04/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... a refusé mes sollicitations d’aller tout droit pour venir se désaltérer.
    
    Depuis, c’est moi qui tourne ses rênes pour venir me tremper le cul dans l’eau, hélas, peu profonde dans cette petite cavité où l’onde claire sort de la montagne pour y retourner quelques mètres plus bas.
    
    Je dois avouer un petit travers de ma personne, lorsque j’ai le cul dans l’eau froide, par ces fortes chaleurs de juillet, je fais pipi dans l’eau.
    
    Il y a quelques heures, j’étais donc au bord de cette eau, nue, tranquille à me rafraîchir.
    
    Je venais de me soulager lorsqu’à quelques mètres derrière moi, j’ai entendu parler.
    
    Impossible de me relever sans montrer mon sexe aux trois hommes tous blond qui sont arrivés près de moi.
    
    J’ignore ce qu’ils disaient.
    
    Rapidement, ils se sont présentés, ils étaient suédois.
    
    Par chance, avec son accent, l’un d’eux, Ingemund, parlait des rudiments de français.
    
    Quel âge avait-il ? 20 à 25 ans rien de plus.
    
    J’étais gênée, femme de 65 ans d’être nue devant de tels Apollon.
    
    Alors, sans se poser de question et une fois leurs sacs posés, ils se sont dénudés à leur tour.
    
    C’est dans leur langue qu’ils se sont mis à parler en même temps qu’Ingemund me les présentait en traduisant.
    
    • Ce grand, là, c’est Björn comme le joueur de tennis, sa mère trompait son père avec ce tennisman regardant tous ses matchs.
    
    Lorsque son fils est né, elle a imposé à son mari qu’il ait le même nom.
    
    Björn m’a fait un petit signe de main en s’installant à ...
    ... mes côtés.
    
    Pour ce faire, la vasque de la source ressemblant à un Jacuzzi, il est passé si près de moi que sa verge était à quelques centimètres de mes yeux et de ma bouche.
    
    Mais je dois reconnaître que j’ai déjà eu deux partenaires, mais là, trois, il m’a semblé qu’il y en avait un de trop.
    
    • Solveig, c’est son frère, ils ont un an d’écart.
    
    Tu remarqueras qu’il a une couille plus petite que l’autre.
    
    Excuse, tu es assez sympa de nous accepter dans ton eau fraîche et moi je parle de ses couilles.
    
    • J’ai vécu plus que vous, j’ai de l’expérience, si vous êtes jeunes, moi je prends de l’âge, des couilles j’en ai vu alors inutile d’être gêné.
    
    Là encore, passant devant moi, Solveig, m’en montrait une belle paire, le temps d’un instant me permettant de voir la difformité du garçon.
    
    À vue d’œil, j’ai le temps de me rendre compte que la plus petite, il me serait facile de me la mettre dans la bouche alors que l’autre ça relèverait de l’exploit.
    
    Je tiens à mes mâchoires, les bloquer au risque qu’elles se déchaussent, je décide d’éviter.
    
    Je me suis rendu compte que j’extrapolais déjà et que si les trois garçons voulaient me baiser, je me laisserais faire.
    
    Je sais la salope que je suis, je pense qu’eux l’ignore.
    
    Et alors que nous étions assis en rond sur le coin de sable tapissant cette vasque naturelle et que nous nous aspergions, je me souviens avoir pris l’initiative.
    
    Je leur ai jeté de l’eau comme font les enfants quand ma main est retombée sur la ...