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La chouette
Datte: 28/04/2025, Catégories: ff, fbi, fplusag, plage, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, caresses, Oral jeu, init, conte, contes, lesbos, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... reste nue, et insister plus encore, pour qu’elle reste contre moi. — Tu n’as pas à avoir honte de toi… Mais, tu sais… j’adore que tu sois un peu honteuse. C’est la preuve que je t’ai totalement fait craquer. — Tu peux en être fière, alors… Elle a parlé sérieusement et je la sens tendue. Je la regarde tout aussi sérieusement. — Juste après… Je t’en ai voulu ! Et je m’en veux à moi là… Je pourrai être ta mère… Un rapide baiser sur le coin de ses lèvres, et elle soupire d’agacement. — Je suis sérieuse, Juliette. Je l’embrasse encore, et ma main colle fermement son visage contre mon épaule. Je prends sa bouche d’une langue impatiente, et Gwendoline la suce aussitôt. Elle est toujours excitée, et me le fait comprendre sans s’en rendre compte. Gwendoline me fait à nouveau chauffer le ventre. Je lui ai donné du plaisir sans rien demander en échange. Une frustration très excitante. — Ma mère a deux ans de moins que toi… Et voilà pour l’autoflagellation de madame ! Un voile de tristesse passe immédiatement sur les yeux d’or. — En ce qui me concerne, j’ai fait l’amour à une femme. Une belle femme ! Une femme dont je me fiche de l’âge et qui m’a plu tout de suite. — Pourtant… Je pince un téton qui pointe, et Gwendoline se tait aussitôt. Sa respiration s’est accélérée. — Et cette femme a encore envie de mes caresses. — Non… Elle pousse un petit cri quand mes doigts appuient plus fort sur sa petite pointe, l’écrasant un peu. — Ça suffit, Gwen ! ...
... Tu crèves d’envie que je te donne du plaisir. Pour t’en vouloir ensuite ? Je ne veux pas que tu culpabilises. Ma main a glissé sur son corps tandis que je parlais, et mon majeur la pénètre d’un coup. Elle geint doucement quand je bouge mon doigt en elle. — Tu as fermé les yeux, et je t’ai fait jouir. Où est le mal ? Il n’y en a aucun. Tu en veux encore, et j’en suis ravie. Et très excitée. — Je… je jouis… encore… Cri aigu. Longue trille, perçant le calme. Puis les yeux d’or sur moi. — C’est… Tu me rends pleine d’envies… — Mais moi aussi j’ai envie de tes caresses, Gwen. C’est l’unique reproche que tu pourrais te faire. Me laisser dans cet état est du pur égoïsme. Elle ouvre les yeux, me regarde lui sourire, et me glisse qu’elle le sait dans un murmure. — Alors, qu’attends-tu ? Gwendoline, sa main sur la mienne, me laisse la doigter un moment avant de me repousser. Elle s’est forcée, et soupire quand mon doigt la quitte. — Je n’oserai jamais… — Tu aimerais ? — Oh, Juliette ! J’ai honte rien que de m’imaginer te faire ce que tu m’as fait. Elle hésite un instant, comme cherchant ses mots, et je ne peux que comprendre qu’elle n’osera rien si je ne l’aide pas. Comme souvent, je me lance en pensant que parfois, il faut enfoncer le couteau dans la plaie. — Honte de goûter une chatte ? Ma chatte ? — Oh, Juliette ! Mais oui… Ce n’est pas vraiment… Et puis… j’ai un peu peur ! Elle est sérieuse et je contiens mon amusement. — Tu as peur de ne pas ...