La chouette
Datte: 28/04/2025,
Catégories:
ff,
fbi,
fplusag,
plage,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
caresses,
Oral
jeu,
init,
conte,
contes,
lesbos,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... yeux d’or !
C’est moi, maintenant, qui mords doucement un menton étroit et un rien pointu. Puis sa bouche, une lèvre, puis l’autre. Je me précipite un peu trop, et nos dents s’entrechoquent. Aucun mal pour l’une comme pour l’autre, et je ris doucement en la regardant. Gwendoline me sourit.
— C’est que je la boufferai bien toute crue, la dame…
Elle rougit aussitôt et ferme ses beaux yeux.
— Regarde-moi, s’il te plaît…
Je bouge contre elle sans la quitter du regard. J’approche mon corps, mon ventre contre le sien. Gwendoline est chaude. Je suis arrivée à mes fins. Mes tétons, durcis par le désir, se frottent aux petits boutons dressés de sa poitrine. Elle aussi bouge soudain, elle aussi avance son ventre, et elle pousse contre le mien.
— Oh, Juliette… s’il te plaît…
Gwendoline me repousse avec douceur… elle tente sans aucune volonté de réussir de me décoller d’elle, tandis que mes seins écrasent les siens. Je l’embrasse et parle dans sa bouche.
— C’est bon, n’est-ce pas…
Mes tétons se frottent aux siens, ma langue caresse la sienne.
— Dis-moi, Gwen ! Dis-le-moi !
Gwendoline halète, et pousse encore pour se dégager. Je souris intérieurement tout en la laissant faire. Bien sûr, elle n’en a pas réellement envie, mais elle se débat tout de même un peu.
— Tu… Tes bras… Tu es si grande…
— C’est toi qui es petite…
La femme aux yeux d’or a dû tourner son visage, pour se dégager de mes lèvres qui picoraient les siennes. Un conte venu de ...
... l’enfance me vient à l’esprit et au tout dernier moment, je retiens mes mots. Il s’agit de grands bras, de grandes dents et d’une certaine mère-grand. J’aurai eu l’air idiot alors que je n’ai qu’une envie… Donner du plaisir à cette femme et jouir d’elle. Mère-grand ou pas !
— Et je suis si forte… J’en ai trop envie, Gwen ! Et tu ne peux rien empêcher…
— Tu… tu ne vas pas me forcer !
Gwendoline me fixe et ses yeux traduisent ses pensées. J’y lis un peu de doute. Mon corps glisse sur le sien, et la malheureuse se contorsionne encore, pour tenter de m’échapper.
— Si, bien sûr ! Je vais te prendre de force. Et toi… Tu feras tout pour me faire croire que tu n’en as pas envie.
Elle rit doucement, mais je la sens un peu tendue.
— Me prendre ? Comment vas-tu me prendre ?
Mes lèvres sur les siennes. Douce morsure sur sa lèvre inférieure.
— Ma bouche te prendra d’abord. Mes doigts ensuite. Je veux tout de toi.
— Juliette…
— Et je prendrai tout !
— Juliette…
— Chut !
J’oppose un « Chut » à chaque « Juliette » prononcée, tandis que je me lance à l’assaut de son corps. Un assaut très doux. Je suis patiente alors qu’elle frémit. Je prends mon temps et explore sa peau alors qu’elle est prête à sombrer. Son visage sous mes lèvres, ses épaules que je caresse, ou effleure de ma bouche. Puis ses seins, dont je suce doucement les pointes, son ventre que je lèche ou embrasse… Rien de son corps n’échappe à mes attentions. Il y a les « Juliette » un peu inquiets, suivis de « ...