Matilda
Datte: 26/04/2025,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
caresses,
Oral
fist,
journal,
Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe
... aimez la bière ?
— Oui mais je suis très sélective, j’aime la bière blanche allemande.
— Une Erdinger Weißbier vous conviendrait ?
Je restais sans voix, c’était une bière quasiment inconnue en France, vendue de façon plutôt confidentielle dans des boutiques ou des bars très spécialisés. Comment un garçon comme Julien pouvait avoir à sa disposition une telle rareté ? Élodie avait été un moment dans la cuisine pour boire un Perrier mais, même si elle avait vu une bouteille comment, un week-end, avait-elle pu en fournir à son fils ?
— Je connais bien, en effet.
— Alors venez, je ne vous propose pas de vous l’apporter moi-même, je ne suis pas motorisé et le dimanche la circulation est fluide.
— Très bien.
J’ajoutais bêtement :
— Le temps de m’habiller et j’arrive.
— Avec mon adresse, ça serait sans doute plus pratique.
Je haussais les épaules ce qui ne servait à rien puisqu’il n’était pas là. Je notais l’adresse sur l’enveloppe de Mireille. Nous étions voisins, Courbevoie était à cinq minutes en voiture sur la rive opposée de la Seine. Je m’habillais rapidement et sobrement d’un tee-shirt blanc décoré de deux superbes fleurs de Strelitzia et d’un pantalon blanc. J’optais pour le braless, c’était à la fois à la mode et confortable et j’aimais avoir les seins libres. Vingt-cinq minutes plus tard j’étais devant son domicile. C’était un immeuble moderne sans cachet particulier qui comptait une dizaine d’étages. Avant de signaler ma présence par l’interphone, je ...
... calculais que, depuis les étages élevés il devait être possible de surplomber et d’apercevoir ma terrasse. Dans la liste des résidents, l’étiquette portait deux noms : Julien Sorel et Matilda Steiner. J’appuyais sur le bouton correspondant et la voix de Julien me renseigna :
— Septième étage.
Il m’attendait sur le palier à la sortie de l’ascenseur.
— Je suis heureux que vous soyez venue.
Je répondis par un sourire. Il enchaîna pour débuter la conversation.
— Finalement, nous ne sommes pas loin l’un de l’autre juste la Seine à traverser.
— En effet je suis presque en face
Il m’entraîna vers le balcon. Je retrouvais avec difficulté mon immeuble mais hors de portée de vue de détail ce qui me rassura. L’appartement était agréable, très lumineux. Le séjour avec la cuisine ouverte à l’Américaine était très clair avec un canapé manifestement profond et confortable. Tout un mur était recouvert de rayonnages chargés de livres. Il y avait un recoin équipé en bureau sur lequel s’entassait des chemises de couleur. Je regardais les livres, toute une étagère était réservée aux polars dont la collection sans doute complète des œuvres de Paula Brilland. Posé contre des livres, sans cadre, il y avait deux photos en noir et blanc, deux femmes nues de dos. Je crus reconnaître les fesses assez caractéristiques d’Élodie. Je ne fis, évidemment, aucune remarque.
— Une petite bière ?
— Si c’est celle dont vous m’aviez parlé, avec plaisir.
Je reconnus la bouteille avec le ...