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Matilda
Datte: 26/04/2025, Catégories: f, ff, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, caresses, Oral fist, journal, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe
... prise devant la même piscine. J’observais un moment la photo et, à part, peut-être, la forme des yeux, il était impossible de retrouver la petite fille de l’autre photo. La lettre était courte et commençait par« Tu vois bien qu’il ne faut pas maigrir ! ». Pour résumer, il s’agissait d’une invitation à venir passer quelques jours au soleil des Baléares. Décidément mon été devenait presque surbooké ! Je décidais de ne pas répondre immédiatement il fallait que je réfléchisse à mon planning. Je commençais à m’assoupir lorsque le téléphone me fit émerger de cet état second qui précède le sommeil. Un numéro inconnu auquel j’hésitais à répondre. C’était Anna, elle désamorça d’emblée toute polémique en commençant par : — Je n’ai pas eu le choix. Comme tu vois probablement il a même fallu que je change de téléphone et de numéro. Chouchou a un poste un peu sensible et nous sommes à la fois protégés et surveillés. Elle éclata de rire : — Évite de dire des cochonneries on ne sait jamais si on nous écoute. Elle ne rentra pas dans les détails mais me raconta sa nouvelle vie. Sa première entrée au palais Farnèse. La merveille de ce palais qui servait d’ambassade mais qui reste aussi un trésor historique. Elle me raconta ce qu’elle avait retenu de l’histoire de ce palais qu’un attaché lui avait raconté en une petite demi-heure en visitant les salons. Elle avait même eu le droit de jeter un coup d’œil dans la « sala dei fasti farnésiani », le bureau à l’ambassadeur. Elle ...
... me dit combien Rome était belle et combien les Italiens et les Italiennes n’étaient pas mal non plus. Je lui racontais brièvement ma rencontre avec Élodie sans trop rentrer dans les détails. Notre conversation finie par une invitation à Rome même si le climat y est étouffant en été. — S’il fait très chaud nous pourrons aller à la plage. Attention, tu vas avoir des frais il faudra t’acheter un maillot. Elle finit sur un nouvel éclat de rire : — Ici, il y a du sable et des dunes, mais ce n’est pas la côte sauvage. L’appel d’Anna m’avait fait du bien. Elle ne m’avait pas complètement abandonnée et elle avait gardé sa joie de vivre. Mon agenda devenait chargé, la Charente, les Baléares et Rome c’était beaucoup pour les vacances. Je regardais même le calendrier pour vérifier si le pont du quinze août existait et s’il était exploitable ou pas. De toute façon il me restait beaucoup de jours de vacances et de RTT, je devais m’organiser rapidement. J’en étais là dans mes pensées lorsque le téléphone sonna de nouveau, j’aurais dû le mettre en mode avion. C’était Julien, je répondis malgré tout. — Bonjour la Dame du train. — Bonjour Julien. Je laissais passer un petit silence. — J’espère que je ne vous dérange pas. — Allez-y. — Voilà je suis désolé pour hier soir mais j’avais vraiment un truc urgent. Si vous n’avez rien de prévu j’aimerais bien qu’on se rencontre pour parler sérieusement de mon travail. — Maintenant ? — Si vous voulez, pour moi c’est OK. Vous ...