Matilda
Datte: 26/04/2025,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
caresses,
Oral
fist,
journal,
Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Après la soirée d’hier, je me réveillais tard, j’avais devant moi tout un week-end. Je ne le voyais pas comme des jours de solitude, mais comme un temps de tranquillité. J’allais me faire un café et je revins dans le lit, confortable, bien calée dans les oreillers, un grand moment de calme et presque de sérénité. Le soleil était déjà haut et je descendis un peu le volet pour tamiser une lumière trop vive.
Je n’arrivai pas à mettre de l’ordre dans des sentiments contradictoires. Les événements s’étaient enchaînés sans que j’en ai eu vraiment la maîtrise. Je ne regrettai rien et n’avais aucune culpabilité concernant mes relations. Je ne parvenais pas à bien analyser la situation et mon attirance pour les femmes. Alain n’avait jamais fait obstacle aux quelques liaisons que j’avais eu avec des amies. Dès le début de notre rencontre, je lui avais avoué que j’avais eu très tôt des rapports homosexuels et que je ne m’interdisais pas d’en avoir encore. Mais je n’avais jamais connu une telle quantité de partenaires en si peu de temps.
Élodie, en évoquant sa relation avec sa prof, avait ravivé mes souvenirs avec Amélie. Je n’étais plus butée, le temps était passé et avait adouci les sentiments. Et je me rendais compte maintenant que si la rupture avait été si violente pour moi c’est simplement parce que je l’avais aimée, énormément aimée. Les réminiscences de nos ébats me troublaient encore. Je repoussai le drap pour observer les réactions ...
... de mon clitoris à cette évocation. À l’époque, il était un peu dissimulé dans une abondante forêt de poils sombres. Je regardais avec attention ce petit morceau de chair pointer sa tête hors de son abri. Il était déjà bien rouge, gorgé de sang. Il se redressait un peu mais restait quand même la tête vers le bas contrairement à un sexe d’homme. Lorsque cette pensée m’était venue je fus envahie par l’image de Julien et la phrase d’Élodie « si tu veux baiser avec Julien te gênes pas ». Cette phrase renforça encore la tension car liée à l’image que j’avais gardée d’avoir abondamment léché le sexe et les fesses de sa mère. L’érection du clitoris était, bien sûr, accompagnée une abondante sécrétion vaginale dont j’aimais le parfum et le goût. Je mis deux doigts pour récolter ce nectar, je les léchais avec une sorte de gourmandise. Je souhaitais prolonger l’excitation sans, paradoxalement, chercher l’orgasme immédiat. Je savais, cependant, que cet état se finissait immanquablement par une décharge de plaisir. Je pris conscience seulement à cet instant que ce qui m’excitait le plus avec une femme c’était de la voir jouir. Les orgasmes féminins étaient parfois spectaculaires et, entre femmes, il y avait peu de simulation. Le plaisir m’inonda rapidement.
Il était presque midi et aucune envie de me lancer dans une préparation quelconque. Le frigo était vide ou presque, j’allais faire un saut dans une petite supérette au bout de la rue. Une vieille dame que je croisais assez souvent ...