« Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (11) : Vénus et
Datte: 25/04/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... de tous, bizarre… parmi tous les animaux aucune femelle n'est saisie par le désir pour une femelle. »
Les Romains pensent qu'un acte sexuel requiert un partenaire actif ou dominant qui est phallique, les écrivains de cette époque imaginent que, lors des relations homosexuelles féminines, une des femmes utilise un godemichet ou a un clitoris exceptionnellement grand pour la pénétration, et que c'est elle qui a du plaisir.
Le comportement de Messaline avec Tullia est dans cette logique, celle d’un amant avec sa maitresse. Elle la possède. Elle ne lui fait pas l’amour, elle la baise. Cette jeune patricienne est désormais à elle, elle est sa femme.
Durant cette nuit torride, Messaline fait avec Tullia tout ce que deux femmes peuvent faire ensemble. Sans témoin, Messaline s’autorise toutefois à son tour à faire jouir Tullia, en pratiquant un 69 qui laisse la belle patricienne épuisée par un orgasme violent.
Après cet interlude où elle s’est pour une fois préoccupée du plaisir de son amante, Messaline reprend ses pratiques de dominatrice, et redevient « fututor », celui ou plutôt celle qui pénètre. Messaline va se comporter avec Tullia comme le ferait un homme.
Messaline va commencer par la pratique des ciseaux. Messaline est sur Tullia, ses seins contre ceux de son amante, sa bouche dévorant celle de Tullia. Cette nuit, Messaline est une tribade, ou comme disent les Romains, une fricatrix (« celle qui frotte »).
• Je vais te prendre, comme le ferait un ...
... homme.
Tullia connait cette pratique, qu’elle aime tant dans les bras de Lucia. Cette nuit, elle est entièrement passive, pour le plaisir de l’impératrice.
Tullia est allongée, les deux chattes se touchent et Messaline frotte son clitoris contre celui de son amante.
• Assieds-toi face à moi !
Les deux femmes entrecroisent alors leurs jambes comme les lames d’une paire de ciseaux. Messaline en profite pour embrasser et caresser son amante. Messaline accélère encore le rythme et est la première à jouir, suivie de Tullia. Celle-ci doit s’avouer que même avec sa chère Lucia, elle n’a jamais connu un tel plaisir.
***
Messaline ne laisse guère de répit à Tullia, se montrant insatiable. Elle disposait d’une belle collection d’olisbos et avait demandé à ses servantes de les lui apporter, précisant que c’était « pour baiser Tullia ».
Messaline a naturellement choisi le plus long et le plus volumineux, qui était noir en ébène. L’engin devait faire en longueur un pied (soit 29,44 centimètres), avec un diamètre de trois doigts (soit environ 5,4 centimètres). Tullia est bien ouverte et sa chatte est abondamment lubrifiée, mais elle ne s’est jamais prise un tel engin, même au cours de la soirée orgiaque. Elle ne peut comparer aux coïts récents avec ses amants les mieux pourvus, comme Vigilianus, Valens ou encore, il y a quelques heures, Mnester. La seule comparaison qui lui vient à l’esprit est Adherbal, l’esclave africain de Lurco, qu’elle avait vu posséder Lucia.
Messaline, ...