Clinique Saint Roch 3
Datte: 19/04/2025,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
médical,
strip,
Auteur: Volovent, Source: Revebebe
... couche(presque) conjugale. En compensation, je pense qu’il devrait passer un agréable moment. Elle est comme ça Anna, tout est calculé, mais elle accepte de payer(de sa personne) sans problème s’il le faut. Donnant-donnant. Et comme elle a un corps qui ne peut laisser indifférent, pour ma part, je pense que c’est gagnant-gagnant. Enfin, tout ça, c’est de l’histoire ancienne pour moi et j’avoue ne plus avoir trop envie de passer la nuit avec elle malgré ses charmes. Et puis il y a Patricia, qui vaut largement le détour à tous points de vue. Discrète, mais pas du tout effacée, l’esprit vif sans vouloir en imposer, un joli sourire et un corps qui promet.
Je l’entraîne donc dans le bureau qui sert de deuxième chambre et là elle a été formidable. Nous étions un peu épuisés par cette longue journée. Nous ne nous connaissions pas. Aussi nous avons fait l’amour gentiment, doucement, sans fioriture inutile, mais pleinement. C’est une sensuelle, elle recherche un contact en permanence. Qu’est-ce que c’est plaisant une fille comme ça ! Elle ne se pose pas de question, ne pense qu’à prendre du plaisir et en donner. Pas de chichis, de prise de tête, pas besoin de prendre des gants et de tourner trois fois autour du pot, pas besoin du Kamasutra sur la table de nuit. On est bien, c’est tout. Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre, elle avec son joli sourire, sa main sur ma poitrine.
Au petit matin, une sonnerie insistante, étouffée, m’a réveillé. Ne connaissant pas ...
... les bruits de l’immeuble, je suis resté un moment à écouter. La sonnerie s’est arrêtée, puis a repris. Personne ne bougeait dans l’appartement. Michel et Anna devaient dormir profondément. Je me suis levé sans bruit pour ne pas réveiller Patricia. Que c’est beau une femme qui dort, détendue et abandonnée après l’amour ! Nue, elle était allongée sur le ventre et dévoilait la courbe sensuelle de son dos, sa chute de reins, ses fesses ; ses jambes légèrement écartées découvraient sa vulve sans aucune pudeur. Je suis resté un long moment à l’admirer avant de sortir de la chambre.
La sonnerie semblait bien venir de la porte d’entrée. Je regarde dans le judas et ne vois rien. J’ouvre la porte. Christiane est effondrée sur le pas de la porte, défigurée, en larmes, la robe chiffonnée, pieds nus, tremblant de tous ses membres. Elle ne pouvait même plus se mettre debout. Je la traîne littéralement dans l’appartement, referme la porte et fonce chercher Patricia.
— Désolé de te réveiller, mais ta copine a un souci.
En quelques secondes, elle surgit dans le couloir.
— Mon Dieu, dans quel état elle est !
— Fais-lui prendre une douche bien chaude, je prépare le café.
— D’accord.
— Et habille-toi un peu, tu vas rendre Anna jalouse. Elle monte très vite dans les tours.
Elle sourit. Nous traînons Christiane dans la salle de bains, puis je la laisse officier. Je mets en route le petit déjeuner. Michel débarque sur ces entrefaites.
— Que se passe-t-il ?
— On a récupéré ta ...