1. Épilogue (provisoire)


    Datte: 15/04/2025, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, Masturbation intermast, Oral fgode, fdanus, jouet, bougie, fouetfesse, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... fesses se révélaient en gros plan et sa position me donnait une vue explicite de sa chatte. Je n’avais prêté aucune attention à l’action ni au membre en érection. Par contre, je n’avais pas détaché les yeux du minou qui m’exhibait tous ses détails. Je me suis souvenu avoir rougi quand la fille s’était retournée vers nous. Son sourire m’avait déculpabilisée et je le lui avait rendu par réflexe. J’avais pensé réagir avec indulgence pour une démonstration scabreuse. C’était sans doute un inconscient remerciement complice.
    
    Parce que, à bien creuser, j’ai dû admettre que les jours, et les étés, suivants j’avais accordé mon intérêt aux seuls corps de naïades. Les apollons, réels ou se l’imaginant, n’étaient que des éléments de décor inévitables et superflus. Même lorsque, par jeu, mon mari m’invitait à exciter les voisins par des poses érotiques, ou que je m’y amusais moi-même, c’était l’œil des voisines qui me troublait le mieux. Laisser une femme, jeune aussi bien que vieille, examiner mes seins, mes fesses, ma minette – surtout ma minette – me procurait des échauffements humides que j’attribuais à l’incongruité de la situation. C’était probablement pour des raisons moins innocentes.
    
    D’ailleurs, en m’en repassant le film, j’ai retrouvé ces sensations coquines de loisirs nudistes. Je me suis autorisée, face à la glace de l’armoire, la branlette que je n’avais alors osé faire à la vue de mes observatrices. Le regret de ma timidité passée m’a attristée. J’en ai conclu qu’il ...
    ... s’agissait indiscutablement d’une homosexualité que j’avais refoulée, par ignorance sinon par convention morale. La littérature, la culture en général, m’avaient pourtant donné tous les moyens de comprendre. Avais-je été bête !
    
    Ce fait acquis, quid de mes pulsions sadomasochistes ? Il m’a fallu remonter très loin pour en discerner les prémisses. Cette fois où, toute petite fille, j’avais vu des grandes déculotter une de leurs camarades pour la gifler à toute volée sur son cricri – je l’appelais ainsi à cet âge tendre – en la maintenant jambes ouvertes. Je n’en avais jamais rien dit, je ne m’étais pas enfuie affolée. J’étais restée cachée et j’avais tout regardé jusqu’à la fin, fascinée par les claques, les pleurs, et la couleur incarnate que prenait peu à peu la partie malmenée.
    
    Et cette autre fois où, vers six ou sept ans, pour un vase – de prix, il est vrai – cassé malgré des avertissements réitérés, une tante avait baissé mon petit bateau devant ses amies venues prendre le thé et m’avait infligé une fessée carabinée (on n’en faisait pas une maladie en ce temps). J’avais eu mal, bien sûr, j’avais été horrifiée que les dames vissent mon derrière nu et mon propre cricri. Mais en étant honnête, je pouvais comparer comme étant similaires les ressentis intimes de victime et de spectatrice.
    
    Peut-être était-ce pour éprouver des émotions identiques que j’adorais lire la Comtesse de Ségur. Les fessées distribuées aux petites filles indisciplinées m’enchantaient. La correction ...
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