Chauffeur, guide, et plus si affinité !
Datte: 15/04/2025,
Catégories:
fh,
fhh,
2couples,
candaul,
voyage,
bus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
entreseins,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
confession,
occasion,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... si elle vient vous voir vous pouvez confirmer ? Au moins, j’aurais succombé et ne serais pas venue de mon propre chef. Ce sera une faiblesse, juste une faiblesse.
— Vous croyez qu’elle va le croire. Si elle nous a vus…
— Je sais, ce n’est plus une ingénue. Elle peut, peut-être, comprendre. Après tout, elle m’a fait la remarque qu’elle vous trouvait « craquant ». Faites pour le mieux.
Le reste de la journée se passe sans que cet incident la ternisse. Je surveille du coin de l’œil cette Lilou qui a suivi sa belle-mère et l’a « immortalisée » dans ses ébats. Cela a dû lui faire un choc, encore que, mignonne comme elle est, la sexualité, elle doit connaître. Lorsque je croise son regard, elle me sourit, mais sans que cela soit particulier.
Nous avons changé d’hôtel… toujours un hôtel à taille humaine. À nouveau… animation. Les touristes ne regagnent leur chambre qu’après minuit.
Mon bus est un peu à l’écart.
On frappe à la porte. Lilou ? Elle vient me questionner. J’ai bien réfléchi. Si je dis que j’ai essayé de séduire sa belle-mère, j’insisterai sur le point qu’en aucun cas je ne l’ai forcée. De toute façon, si Lilou avait suivi Hélène, elle a bien dû nous voir depuis le début et constater que…
Ce n’est pas Lilou, mais celle que j’espérais hier soir. Décidément !
J’ai l’impression de revivre les mêmes excuses, comme d’ailleurs chaque fois qu’une femme vient me voir. Très peu viennent sans honte et annoncent dès le départ qu’elles ont envie de moi.
Mais ...
... Armelle en fait le minimum. Très vite, elle avoue :
— La réalité c’est que j’ai envie de vous. Mais, je suis peut-être trop vieille pour vous, ou je ne suis pas votre type, ou vous n’aimez pas que ce soit la femme qui fasse le premier pas ?
Je souris et m’avance vers elle. Je pose un baiser sur ses lèvres. Elle sent bon. Elle m’enlace. Je l’enlace. Le baiser devient fureur. Elle est toute chaude.
Je la libère pour faire descendre mon slip. Elle me regarde, découvre mon sexe qui est encore alangui. Elle fait sauter sa robe par-dessus tête. Le mouvement est rapide, mais gracieux. Elle est nue. Elles viennent toutes me voir ainsi : nues, disponibles, offertes. Elle s’empare de ma verge. Elle la sent se dresser. Elle sourit, veut s’agenouiller, mais je la retiens.
Elle est venue, mais je veux mener le jeu. Elle n’est pas comme Hélène, épouse qui s’offre un écart. Non, elle est différente. En dansant, elle se frottait à moi sans retenue, ou à peine. Je voyais bien que son mari nous regardait et je pensais que si c’était moi, elle se ferait remonter les bretelles de cette insouciance.
D’une main ferme, je l’invite à se tourner et se pencher pour prendre appui sur les sièges de part et d’autre de l’allée. Je les connais ces femmes. Elles ne cherchent pas qu’une aventure, elles cherchent plus. Je les surprends alors que, plus vieilles, plus expérimentées, elles ne s’attendent pas à ce que ce soit moi qui les dirige.
Je la caresse. Je me plaque contre son dos, lui ...