Chauffeur, guide, et plus si affinité !
Datte: 15/04/2025,
Catégories:
fh,
fhh,
2couples,
candaul,
voyage,
bus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
entreseins,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
confession,
occasion,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... avait un peu bu et j’ai bien vu qu’elle avait tendance…
— Merci. C’est bien normal. Elle est si jeune. Quel âge a-t-elle ?
— Elle va avoir vingt ans.
— Oh, elle paraît plus jeune.
— Oui, mais je ne suis pas venue pour parler d’elle. Vous êtes bien installé ici ?
Sans attendre ma réponse, elle avance dans le couloir pour atteindre le lit. Elle le teste de la main.
— Il doit en avoir des choses à raconter ?
Son sourire est chargé d’envie.
— Approchez, je ne vais pas vous manger.
Non, elle ne me mange pas, mais dès que je suis assez près d’elle, elle pose sa main sur mon sexe. Je ne porte qu’un caleçon flottant. Elle le fait tout en me fixant du regard, cherchant un accord ou un refus. Je ne dis rien, alors, elle baisse assez le tissu pour libérer ma verge.
— Oh, c’est bien ce que je pensais.
Alors elle me caresse. Aussitôt, je me dresse et apparais dans toute ma majesté. Elle pose ses lèvres, puis sa langue puis avance et me gobe.
Pour moi, les meilleures suceuses sont les Américaines. Elles commencent très jeunes et ont le temps d’améliorer leur technique sur plusieurs copains. Hélène suce bien, mais, dès que je suis bien dur, elle fait sauter sa robe. Sa poitrine sans soutien-gorge est lourde, disproportionnée par rapport à son corps, mais elle s’en sert pour me faire une branlette dans le sillon de ses nichons qu’elle tient plaqués l’un contre l’autre. C’est la première fois que l’on me fait cela. Par moment, elle relâche la pression pour cracher ...
... sur mon sexe et reformer un sillon gluant.
— Tu as des capotes ?
Évidemment que j’en ai. J’attrape la boîte et lui en donne une. En deux secondes, elle me couvre.
— Allonge-toi, je veux me prendre sur toi.
Cela fait drôle d’entendre cette femme si posée et retenue me parler ainsi. Mais elle ne fait pas que parler. Dès que je suis allongé, elle monte sur moi et dans un mouvement fluide qui montre qu’avec son mari – je sais que son mari est resté en France – elle en a l’habitude.
Elle me chevauche. Sa lourde poitrine joue la farandole. C’est étonnant comme les seins paraissent vivre leur propre vie. Mes deux mains les stabilisent. Mes doigts en torturent la pointe que j’ai rarement vue si grande.
Elle jouit très vite. Elle est très humide. Elle jouit encore. Je la rejoins.
— Merci. C’était très bon. Pas un mot à personne, n’est-ce pas ?
— Bien sûr.
Elle me quitte, plutôt se sauve, prenant juste le temps de repasser sa robe…
Mais le lendemain matin pendant la queue pour le buffet du petit-déjeuner, je vois bien qu’elle a un regard fuyant. J’en apprends la raison pendant la visite des Trullis.
— Lilou sait tout. Elle ne dormait pas. Elle m’a suivie. Elle nous a vus. Pire, elle a pris des photos. Elle menace de tout raconter à son père, mon mari. Oh, mon Dieu, s’il l’apprend ! J’ai menti. Je lui ai dit que vous m’aviez demandé de passer pour me montrer des documents sur les Trullis et que vous m’avez séduite. Je sais que ce n’est pas glorieux, mais ...