Chauffeur, guide, et plus si affinité ! - Histoires de Sexe

Chauffeur, guide, et plus si affinité !

... moment de tristesse. Lilou repartait avec eux. Elle avait de la chance, ils pouvaient continuer de se voir. Pas moi

Avec qui revivrai-je ces grands moments où Romain et moi avons pris les femmes en sandwich ?

Quel couple sera capable de me sucer si bien, surtout Romain ?

Quel homme me proposera son petit trou que j’envahirai sous le regard de ces dames !

— Alessandro… Alessandro… Vous m’entendez ?

La même voix douce de tout à l’heure. J’ai dû me rendormir et j’ai dû rêver. Non, pas un rêve, des souvenirs.

— On va vous transférer dans une chambre. Tout va bien. Reposez-vous. Je passerai plus tard pour vérifier que vous êtes bien installé.

Elle me sourit. Elle prend la couverture qu’elle avait posée pour dissimuler mon érection.

— Ce n’est plus nécessaire, n’est-ce pas ? Tout est rentré dans l’ordre.

Son ton est moqueur.

Avec l’homme qui va m’emmener dans ma chambre, elle m’aide à m’asseoir dans le fauteuil.

— À tout à l’heure !

Dans cette clinique, il n’y a que des chambres individuelles. Avec le prix que je paye, c’est le minimum.

On frappe. On rentre sans attendre. C’est elle.

— Alors comment allez-vous ? Vous êtes bien installé ? Vous avez dîné ?

Quelques minutes, elle me questionne et nous bavardons. Elle s’est ...

... assise dans le fauteuil.

— Il va falloir que j’y aille. Je vais vous laisser. En principe, vous sortez demain avant mon service. Je dois juste vérifier quelque chose. Vous permettez ?

Évidemment que je permets, bien que je ne comprenne pas ce qu’elle fait. C’est comme si elle voulait refaire mon lit. Elle repousse la couverture soigneusement repliée vers mes pieds. Elle repositionne le drap. Elle recule, regardant si tout est bien.

Elle se dirige vers la porte. Je crois qu’elle va partir, mais il me semble entendre le pêne se refermer.

Elle refait quelques pas vers moi.

Alors ! Alors ! Elle déboutonne lentement sa blouse. Je vois très vite les arrondis de ses seins, son soutien-gorge les laissant assez libres. La petite culotte est sans prétention, en tout cas pas particulièrement érotique.

Elle continue. Elle apparaît nue.

Quelques secondes où le temps paraît figé, et puis :

— Eh bien, tout va bien. Je voulais m’en assurer.

Je bande et j’ai reconstruit un Barnum avec mon sexe et le drap. Je comprends alors que depuis la salle de réveil elle avait pensé, fantasmé.

Je repousse le drap. Mon sexe retombe contre mon ventre.

— Vous ne pouvez pas me laisser comme ça.
— Bien sûr que non.

Elle avance. Elle tient un préservatif dans la main…