1. Kate


    Datte: 13/04/2025, Catégories: fh, ff, fhh, fbi, hplusag, extraoffre, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, intermast, facial, Oral pénétratio, échange, Partouze / Groupe confession, totalsexe, Auteur: Iovan, Source: Revebebe

    ... bois et me fit entrer dans ce qui était une véritable maison. Les chiens s’étaient précipités à la rencontre des nouveaux arrivants et encombraient l’entrée de leur démonstration d’intérêt, se faisant rabrouer. J’étais émerveillée par l’espace et le luxe de la « hutte de chasse ».
    
    C’est alors qu’arriva le maître de céans.
    
    La première chose qui me frappa fut son air d’autorité, de sérieux abrupt. Il était grand et maigre, ascétique. Ses cheveux gris et clairsemés étaient coupés court. Il avait un visage long et émacié que perçaient des yeux, au regard clair et acéré, surmontés d’épais sourcils teintés de gris, le nez fort et busqué surplombait une bouche longue et mince en trait de couteau.
    
    Il salua chaleureusement, mais froidement son ami, qui me présenta.
    
    — Cher ami, laissez-moi vous présenter la jolie Kate qui va nous tenir compagnie.
    — Ma chère Kate, je suis enchanté. Permettez-moi tout d’abord de me présenter, je suis Sir Henry Fairfax. Je suis positivement ravi de vous accueillir ici. Vous êtes absolument ravissante.
    
    Il s’inclina pour un baisemain qui me fit sourire, puis se tourna vers son ami avec un sourire et un signe d’acquiescement.
    
    Les deux hommes s’affairèrent autour du 4x4 et en descendirent notamment la grosse malle d’osier, qui me sembla pesante, ce dont je fis la remarque. Reginald me précisa que c’étaient les « vivres » pour deux jours, et qu’il espérait que le traiteur avait bien fait les choses.
    
    J’étais étonnée, m’attendant à ce ...
    ... qu’ils se jettent sur moi comme des morts de faim, mais il n’en fut rien… L’éducation, finalement, ça a du bon… !
    
    Monsieur le Président, qui était aux petits soins avec moi, me fit faire le tour du propriétaire.
    
    Le gîte se composait de deux pièces et d’un cabinet de toilette, presque une salle de bains. La chambre, joliment lambrissée, était meublée de quatre lits superposés, spartiate mais fonctionnelle. La cuisine-salle à manger, meublée de façon rustique, était chaleureuse, je lui fis part de mon étonnement quant au, presque luxe, et à la fonctionnalité du gabion. Il m’expliqua, de sa voix assurée et dans un anglais à l’accent aristocratique, que cette hutte de chasse était vieille de cent trente ans, et que des générations de chasseurs l’avaient améliorée au fil des années. Il appartenait à une famille qui la louait maintenant à prix d’or, il fallait la retenir sur plusieurs années, Reginald et lui la réservant d’année en année, depuis des lustres.
    
    Il ouvrit une petite porte, dans la cuisine, et me fit entrer dans une espèce de couloir où courait une banquette au-dessus de laquelle se trouvait une longue meurtrière vitrée qui s’ouvrait sur l’étang peuplé d’oiseaux.
    
    — Oh ! Un souchet et là… un grèbe ! Magnifique !
    
    Mon père, Bird watcher(ornithologue), m’apprenait, depuis toute petite, le nom de tous ces oiseaux.
    
    — Je vois que notre chère demoiselle est une connaisseuse ! Cela me fait plaisir !
    
    Il se tenait derrière moi, tout près, et lorsqu’il s’approcha, ...
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