Kate
Datte: 13/04/2025,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
fbi,
hplusag,
extraoffre,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
facial,
Oral
pénétratio,
échange,
Partouze / Groupe
confession,
totalsexe,
Auteur: Iovan, Source: Revebebe
... please !
— Oh ! Oui… S’il vous plaît mes jolies, faites-nous ce plaisir !
Marsha me regarda avec son beau sourire et avec un petit mouvement de tête, dans une adorable mimique, sans dire un mot :
—Tu veux… ? Ça te dit ce qu’ils nous demandent, ces pignoufs ?
Je lui répondis moi aussi en crypté par un sourire et un haussement de sourcils, me mordant la lèvre.
Marsha, caressant mon visage, plongeait son beau regard intense dans le mien, j’y sentis de la jubilation… sans détourner ses yeux des miens, elle répondit aux hommes :
— Rien ne nous ferait plus plaisir, Messieurs… !
Elle commença notre strip-tease par un joli baiser, sa bouche seulement entrouverte sur la mienne… elle le répéta plusieurs fois… me caressant le visage et le cou… je perdais pied… Lentement, inclinant son beau visage, elle commença à déboutonner ma robe, alors que tout aussi lentement, je m’occupais de son chemisier. Déjà, les autres n’étaient plus là… Nous ne nous quittions pas des yeux, nous embrassant de temps à autre une joue, les paupières, la bouche… Prise dans un étau, j’entendais son souffle, d’où s’exhalait parfois un soupir…
Je sentis ma gorge se serrer quand je vis des larmes monter aux yeux de ma belle chérie… je les embrassai, murmurant son nom. Elle prit, alors, mon visage dans ses mains.
— Ma Kate… mon amour… ! Oh… ! Je t’aime ! Je t’aime, chérie… !
Elle m’embrassa d’un long baiser passionné qui me submergea d’une vague d’émotion dont la violence m’étourdit, ...
... m’assénant la vérité : celle qui me tenait dans ses bras et m’embrassait, me déclarant son amour devant ces trois hommes, était la femme de ma vie. Noyée de bonheur, d’une voix que les sanglots étouffaient, je lui murmurai.
— Oh Marsha… ! Marsha… mon amour… !
Dans le tranquille bien-être de mes certitudes salaces, dans le ciel sans nuages des turpitudes auxquelles je m’abandonnais depuis si longtemps avec délices… un coup de tonnerre, un coup de foudre… venait d’éveiller la petite « Salope au Bois Dormant » que je me découvrais être et qui venait de trouver, folle de bonheur, sa Princesse…
Nous nous embrassions, éperdues d’amour, éblouies…
—Marsha ! Mon amour… ! Ma moitié d’orange… !
Nous nous étions trouvées, seul ce miracle importait.
Nous finîmes de nous déshabiller sagement, presque graves.
Le lien qui nous unissait maintenant, Marsha et moi, nous excluait de la connivence libertine qui jusqu’à présent nous avait liées avec les trois hommes. Le changement d’atout rendait les anciennes donnes caduques…
Alors, bien sûr, nos trois amants exigèrent que nous fassions tout pour les satisfaire, ce dont nous nous acquittâmes de notre mieux… le Champagne cependant était quelque peu éventé…
On nous baisa, encore et encore… bien sûr, on nous fit jouir… bien sûr, nous avons gémi et râlé sous le joug de leurs impérieux mandrins…
Ni ma belle chérie ni moi n’étions là.
Et quand il nous fut demandé de nous « gouiner », devant la délicatesse de la proposition, ...