1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1617)


    Datte: 10/04/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... limpide et parfaitement normal… Après une bonne douche chaude et pour une fois, un copieux petit-déjeuner, je partais avec Markus, quittais le Château à pied nus sur les chemins dans l’Enceinte même de la Propriété de Monsieur le Marquis. Il faisait frais dehors et j’en frissonnais sur ma peau si réceptive à la température extérieure car j’étais totalement nu, ou presque, car seul un collier ornait mon cou, seuls mes attributs génitaux étaient enserrés dans des carcans lourds et volumineux. Markus ne m’avait pas imposé la quadrupédie mais d’évoluer en bipède alors je marchais mais je me déplaçais étrangement. En effet, les cuisses écartées, pour ne pas heurter mes pauvres couilles ballotant au grès de mes pas. J’étais donc debout mais tiré par une laisse, deux pas derrière Markus, sans savoir où il me conduisait… Après avoir traversé ainsi l’immense cour de la Bâtisse ancestrale, puis longé les vastes écuries pour les contourner, nous arrivions derrière les bâtiments équestres pour se rapprocher, sur la gauche, du vignoble proche de l’orée de la grande forêt du Domaine. Alors que nous longions une vigne, j’entrapercevais Antoine, à quelques pas de là, très occupé à se faire bourrer le cul par un inconnu. Celui-ci le besognait sauvagement, tenu debout, tout contre un talus. Nous passions près d’eux sans pour autant nous arrêter, Markus saluait « l’enculeur » en lui disant avec une perversité affichée :
    
    - C’est une bonne chienne que tu as entre tes cuisses… Il aime la bite, ...
    ... il doit avoir le cul bouillant, ne le ménage pas !
    
    - Hummm … Exact !..., lui répondait sobrement son interlocuteur trop affairé !
    
    J’entendais Antoine gémir… Il semblait prendre du plaisir, ses râles étaient saccadés, hachés, tant les coups de butoirs étaient invasifs et percutants. J’éprouvais, pour la première fois, un sentiment de jalousie. Avec Antoine, je sentais grandir en moi un amour fort, sincère et authentique. Le voir ainsi utilisé me dépitait quelque peu. Mais je ne pouvais pas nier ce que nous étions, lui comme moi, juste des simples trous à utiliser, juste faits pour soulager en vide-couilles ou en vide-chattes, les dominants (tes). Et puis l’heure n’était pas venue de m’épancher sur mes ressentis, ni sur mes sentiments… Markus, à peine arrivé dans le bois, exigeait que je mette à quatre pattes et que je le précède ainsi. Tout juste installé, et avant de poursuivre notre chemin, il tirait sur la laisse en m’ordonnant d’écarter un peu plus encore les cuisses et de tendre mon cul.
    
    - Tu vois salope, dans la vie, il y a ceux qui possèdent, comme moi, et il y a ceux qui sont nés pour servir et obéir, comme toi, ceux que la nature a fait naitre pour s’humilier aux pieds de ceux puissants. Toi, tu n’es qu’une petite merde, que dis-je… une sous merde ! Tu es vraiment fait pour être humilié et dominé, c’est une vérité, c’est dans ta Nature, c’est dans tes gènes. Je n’ai pas raison ?
    
    Pourquoi à cet instant, je sentais un flot de honte me submerger… Était-ce cet ...