1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1617)


    Datte: 10/04/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1616) -
    
    Chapitre 37 bis : Du rêve à la réalité –
    
    Oui, j’avais bel et bien joui… Je ne pouvais le nier… J’avais éjaculé sans même me toucher, d’ailleurs je ne le pouvais pas… La cage de chasteté cadenassée sur ma nouille m’en empêchait. Mon foutre avait jailli à cause ou grâce à ce rêve terriblement érotique, pervers et vicieux.
    
    - Lèche, nettoie tes cochonneries avec ta langue de porc, grosse salope !, m’ordonnait la Cuisinière
    
    Je me mettais aussitôt à quatre pattes, langue pendante, langue allant cueillir ma semence pour l’ingurgiter au plus vite et ne laisser aucune trace de cette jouissance involontaire, hormis celle de ma salive sur ce sol bétonné. A cet instant, je sentais des mains manœuvrer et triturer mes testicules, les tirer vers le bas, les tordre douloureusement. Puis je percevais du métal froid, un déclic, un bruit de vis que l’on insérait et l’on faisait pivoter. Puis un étranglement à la base de mes couilles. Markus était là, c’était lui qui agissait. Il venait d’installer un troisième ballstrecher, un nouvel et lourd anneau métallique verrouillé autour de mes burnes.
    
    - Chose promise, chose due ! Je t’ai promis d’étirer tes couilles, de les rendre bien pendantes entre tes cuisses. Tu verras, elles le seront d’ici quelques temps, elles seront tellement distendues qu’elles t’encombreront… Fais-moi confiance, j’y parviendrai salope, me ...
    ... disait Markus avec assurance.
    
    Je comprenais pourquoi j’avais eu si mal aux testicules pendant mon rêve… Markus, la veille au soir, juste avant que je m’endorme, m’avait installé les deux premiers ballstrecher. Parce qu’équipé de ce matériel toute la nuit j’avais ressenti cet étranglement et ce poids autour de mes génitaux dès lors que je devais bouger... Et cet état, cette sensation ressentis avait allègrement alimenté mon rêve érotique… Toujours à quatre pattes, les cuisses écartées, Markus cette fois-ci accroupi devant moi, relevait mon visage et passant sa main sous mon menton.
    
    - Tire ta langue de pute, montre-moi que tu as tout avalé…
    
    J’obéissais, ma cavité buccale était nette, sans plus aucune trace de foutre, Alors, il saisissait ma chevelure et m’entrainait ainsi devant les pieds de la Cuisinière.
    
    - Repends-toi salope, demande grâce à Madame Marie, lèche-lui les pieds, comme une petite salope doit le faire, vénère-là et remercie-là de tout ce qu’elle te donne.
    
    Je n’hésitais pas une seconde, ma langue glissait sur ses ballerines, je m’appliquais et appuyais pour que la Cuisinière ressente mon sincère respect, mon admiration, ma considération. Elle semblait s’en satisfaire, je l’entendais doucement gémir, je la sentais tranquillement frémir… Jusqu’à cet instant, où d’une main elle remontait sa large jupe de l’autre elle m’attrapait les cheveux et plaquait ma bouche contre son sexe humide.
    
    - Je suis sûre que cette catin, dans son rêve, se voyait bouffer de ...
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