1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1617)


    Datte: 10/04/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... la chatte, je suis certaine qu’il devait se prendre de bon calibre dans son fion de putain… Ne croyez-vous pas, Markus ?
    
    Pour seule réponse, Markus me saisissait par en dessous des hanches pour que mes fesses soient bien relevées, je l’entendais ensuite se racler la gorge et sentais son crachat frapper mon trou et dégouliner le long de mes fesses et entre mes cuisses, alors que son sexe bandé se présentait à l’entrée de mon cul. Je pouvais sentir sa chaleur intense, son gonflement, ses petites poussées préparant, contre mon œillet, son entrée en moi. Je fermais les yeux, respirais l’odeur de ce sexe gonflé d’envie possessive. J’entendais mes propres gémissements comme ceux de Madame Marie lorsque ma langue circulait entre ses lèvres intimes, lorsque celle-ci s’immisçait dans son antre bouillante et dégoulinante. Elle me cramponnait la tête, m’empêchant de respirer, pour que mon appendice buccal s’enfonce plus profondément en elle. Je bavais, léchais, avalais ces sucs doucement salés et agréablement acidulés. Je sentais les mains de Markus me malaxer, me broyer les hanches, tandis que son gros Vit m’écartait le cul et entrait progressivement en moi. Une douleur vive m’envahissait avant d’être très vite remplacée par une profonde sensation de bien-être.
    
    Les hanches de Markus venaient frapper contre mes fesses, sa queue brulante m’emplissait tout entier. A chaque coup de butoir ma tête s’enfouissait plus encore entre les cuisses de la cuisinière, ma langue dardait son ...
    ... conduit brulant. Madame Marie se cramponnait à ma nuque et rugissait bruyamment… Son sexe dilaté laissait échapper des flots de cyprine que j’avalais au fur et à mesure, tandis que Markus me labourait. Il s’enfonçait plus intensément en grognant, je sentais ses couilles battre contre mon périnée, alors que les miennes lourdement lestées, claquaient contre ma cage de chasteté… Les yeux révulsés, la bouche grande ouverte ventousée à cette chatte béante, étouffant mes jérémiades, je n’entendais plus que le son de cette baise sauvage et matinale, je me délectais de son odeur, son gout et les flashes de lumières multicolores que me provoquait ses coups de piston dans mon cul écartelé. A quelques secondes d’intervalles, les deux Dominants jouissaient bruyamment, m’envoyant dans chacun de mes deux orifices, leurs délicieuses liqueurs intimes, de longs jets chauds venant envahir ma gorge et mon fondement.
    
    Je restais ainsi, à quatre pattes, comme si cette position semblait des plus naturelles, à attendre les ordres suivants, à réaliser que je venais simplement et seulement de remplir ma raison d’être, celui de soulager des besoins et exigences sexuels pervers. Je prenais goût à ce que l’on m’imposait, qui s’inscrivait un peu plus dans mon instinct animal, ce besoin naturel en moi de servir, d’être démoli et reconstruit comme ici on l’entendait et l’exigeait ! Je vivais ce que la nature, ma Nature servile, avait inscrit dans ma chair et dans mes gènes… A cet instant tout me paraissait ...