Dieu le père dans la culotte de la princesse (1)
Datte: 27/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Narcisseique, Source: Xstory
... feu brûlant de la cheminée.
— Attache-toi.
D’une voix grave, le souverain intima à sa gazelle de s’exécuter prestement, ce que la femme, dont je distinguais mieux les gestes depuis ma position, ne manqua pas de faire. L’épouse du ministre avait de belles cuisses, douces et longues, des hanches solides et une poitrine généreuse, mais des épaules fines et des bras qui ne connaissaient pas les corvées des champs, de la cuisine ou du ménage indissociables de la vie des femmes de plus basse extraction. Elle avait des mains d’ange, et faisait des nœuds délicats avec le tissu qu’elle nouait elle même autour de ses poignets.
— Mon roi, une servante répond à l’appel et attend vos instructions.
La femme prenait une voix plus doucereuse que la première fois et fixait les yeux bleus clairs et perçants de mon père en jouant l’ingénue. Elle était cette fois assise au milieu des draps, les jambes croisées. Le roi se pencha sur le lit et, les poings fermement appuyés sur le matelas, se pencha sur elle. Je fus surpris de le voir tendre, caresser la joue de sa compagne puis l’embrasser une main sur son cou et l’autre dans son dos, effleurant du bout des doigts la peau de l’aimée, qui frémissait. La femme était blonde et avait des boucles d’or. Elle était poilue, mais je le remarquais seulement à l’instant, alors que ses poils fins presque invisibles se dressaient à peine, mais suffisamment pour que je le perçoive. Je sursautais alors que l’ours venait de gifler Boucle d’or. Je ...
... pris peur que l’on remarqua ma présence, faufilée que j’étais derrière l’ouverture de la chambre isolée d’un simple rideau.
Mon père prit possession d’une seule main du visage de la femme et l’englobait comme il aurait saisi une orange, avant de glisser un doigt dans la bouche de sa maîtresse. Les amants se dévoraient des yeux et je voyais qu’il y avait là une tendresse que je ne soupçonnais pas avant, quand j’espionnais enfant les ébats de mon père. Alors que j’observais les corps nus qui commençaient doucement à se frotter l’un à l’autre, une chaleur très agréable s’empara de moi. Elle ne venait pas du feu. J’expérimentais une tension que ne suffisait pas à expliquer ma peur d’être découverte. J’étais très excitée et toute drôle. Il me semblait qu’à tout instant, j’étais susceptible de me liquéfier et couler dans les interstices des dalles sous mes pieds.
Je poussais pourtant un cri qui n’était pas de joie, lorsque je sentis mon sexe humide. L’Éternel se manifestait à moi. Je portais instinctivement ma main entre mes jambes dans l’expectative d’un filet de sang.
— Que... Anna ?!
Mon père sortit de la chambre, nu. Pourtant terrifiée, le voir de face la protubérance masculine encore à demi bandante, le torse en sueur, raviva le plaisir que je ressentais à l’instant tandis que des gouttes qui n’étaient ni du sang ni de la pisse perlaient sous mes mains. La panique l’emporta et j’eus une réaction que je regrette encore.
— A l’adultère ! criais-je, la voix rauque, au ...