1. Dieu le père dans la culotte de la princesse (1)


    Datte: 27/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Narcisseique, Source: Xstory

    Aujourd’hui est le plus beau jour de ma vie. Mon couronnement a lieu dans l’après-midi.
    
    Il était une fois... Je vivais avec quatre sœurs et un frère. Le roi vivait avec ses conseillers, ses amantes et son chien. La reine vivait comme le chien de mon père, en laisse et à ses pieds, l’affection pour le meilleur ami de l’homme en moins.
    
    Petite fille, j’adorais jouer à la poupée avec mon cadet. C’est grâce à Suzie que je suis devenue grande. J’adorais cette poupée.
    
    Colas et moi passions enfants de longues journées au palais de porcelaine. Notre cabane pour enfants royaux était en bois peint, mais nous aimions l’appeler ainsi, en hommage à la matière dans laquelle la maîtresse de notre jeunesse était forgée. Je ne connais pas d’objet, hormis mon frère Colas, qui n’a plus contribué à mon éducation que cette effigie, Suzie, mon premier amour, ma première propriété.
    
    Suzie se baladait tous les jours nue dans son palais miniature. Elle prenait un bain, faisait sa toilette et se parfumait. Mes mains venaient l’habiller, puis comme elle n’était pas satisfaite, Suzie faisait venir le meilleur tailleur du royaume. Colas passait la journée à coudre pour Suzie. Il cachait ses aiguilles et son tissu dans la commode de Sophie, la préférée de mes cadettes, et nous n’eurent jamais à nous justifier d’une occupation que nos parents ignoraient.
    
    Plus tard, nous grandissions et mon père trompait ma mère sans précaution aucune, si bien que nous le surprîmes à plusieurs reprises en ...
    ... plein ébat avec l’une de ses amantes. Il en attachait beaucoup au lit puis les fouettait. Intrigués par la scène, nous nous approchions pour mieux voir. Ces femmes avaient mal et en voulaient encore. Nous fûmes ainsi initiés, très tôt, aux pratiques sadomasochistes.
    
    Il ne suffit plus à Suzie que ses robes changent chaque jour. Nous l’attachions à tout, partout, et le palais de porcelaine devint vite un repère de cordages et de liens que notre poupée préférait aux robes de mon frère. Un serviteur, qui remarqua bien avant mon père notre passion pour les entrelacements, s’amusa de nos montages. Il vit là un jeu innocent et comme il était un ancien marin, nous apprit à faire des nœuds.
    
    Nous espionnions mon père un peu plus chaque jour où il amenait une femme, et reproduisions sur Suzie les sévices qui semblaient tant plaire à ces dames. Pour notre poupée, nous supplions, crions et gémissions de plaisir. Blottis dans notre château de chambre, personne ne nous entendait. Le fort devait sembler de pierre et comportait d’épaisses cloisons. Il devait être de confort et ses ouvertures étaient de vraies fenêtres en verre. Il devait résister à l’envahisseur et disposait d’une porte que l’on pouvait fermer de l’intérieur.
    
    Nous vécûmes ainsi jusqu’à l’adolescence, où mon père se rappela subitement qu’il avait des enfants. Il sépara les garçons des filles, les petits des grands et décida des jeux qui étaient de notre âge. Par chance, je faisais jeune et il daigna me laisser ma poupée. ...
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