1. Moule à beaufres


    Datte: 26/07/2019, Catégories: f, ffh, jeunes, alliance, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation préservati, pénétratio, Humour Auteur: Mirtylle, Source: Revebebe

    ... sur fond de musique planante, et près de deux heures passent avant que Maman ne vienne se rappeler à mon bon souvenir.
    
    — Mais c’est lourd, tout ça ! me récrié-je en soulevant les sacs en plastique contenant deux grandes bouteilles d’eau et quatre cannettes de bière.
    
    Mais le regard suppliant de Maman suffit à me faire craquer. J’obtempère en arrachant mes quelque cinq kilos de charge et nous nous quittons devant mon port d’attache. Je n’ai accompli que quelques pas lorsqu’une idée vacharde vient m’assaillir. Je tente de la chasser, mais elle insiste, alors j’amorce un demi-tour prudent qui me ramène dans l’abri de jardin. Là, je déboutonne ma petite blouse à manches courtes et l’enlève le temps de me débarrasser de mon soutif que je planque dans un coin. Je la remets ensuite, mais en me la nouant sur le ventre. Il n’y a pas de miroir, mais j’imagine sans peine le tableau que je peux offrir. C’est autre chose que le tee-shirt large de la veille !
    
    En me dirigeant vers le bout du terrain, je me demande si je n’exagère pas un peu. La chaude caresse de l’air sur ma peau, les petites vibrations qui agitent l’extrémité de mes seins sous le fin tissu de ma blouse et la sensation de quasi-nudité m’émoustillent.
    
    Lorsque j’arrive, mes beaufs en font des yeux comme des soucoupes ! Pour se donner une contenance, Cyrille ironise :
    
    — C’est pas vrai ! Elle nous apporte à boire !
    — J’espère que la flotte n’est pas empoisonnée ! enchérit Pascal.
    
    Ils sont couverts de sueur, ...
    ... torse nu et poussiéreux. Je pose ma charge au sol en me baissant lentement. À croupetons, je leur offre une vue plongeante sur mon décolleté, pendant que je fouine dans les sacs. J’en sors deux bières glacées.
    
    — Y a ça aussi, je fais en me relevant. Faites gaffe à vos crânes, le soleil et l’alcool font pas bon ménage. Ciao !
    
    Je les quitte et me dirige vers un bouquet d’arbres qui borde la propriété. De là, un sentier descend vers un ruisselet juste bon à s’y tremper les pieds à condition que l’été ne soit pas trop sec. En marchant sous les feuillages, j’ai encore en tête l’image de mes beaufs avec leurs yeux de merlans frits. Je suis sûre d’avoir fait mon petit effet, et j’en souris béatement. Me balader comme ça n’est vraiment pas dans mes habitudes et je découvre soudain l’attrait qu’on peut exercer sur les mecs rien qu’en s’exhibant un peu pour les aguicher, même si on n’est pas miss monde. Moi-même, je suis loin de mon état normal. Je me sens toute chaude et la température extérieure n’y est pas pour beaucoup !
    
    Je m’arrête et m’assois au pied d’un arbre. Adossée au tronc, je pose l’occiput contre le bois rugueux et ferme un instant les yeux. Du bout des doigts, je frôle les bords de ma blouse toujours nouée sur mon ventre, juste au-dessus de mon nombril. J’ai envie de sentir la caresse de l’air sur ma peau, je joue avec le noeud, mais n’ose pas me dénuder. Je finis par glisser une main sous ma chemise. Mes seins se sont affermis et je reste un moment à les palper, ...
«12...101112...21»