1. Catherine découvre un plaisir nouveau


    Datte: 05/04/2025, Catégories: ff, fsoumise, fdomine, caresses, intermast, Oral fgode, fdanus, coprolalie, totalsexe, lesbos, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... humide ornait maintenant le devant de ma jupe, qui tomba rapidement.
    
    Le reste de l’après-midi ne fut que cris de plaisir, corps entremêlés, souffles brûlants, orgasmes dévastateurs. Cathy me prodigua des caresses indicibles, sa langue, ses doigts provoquèrent en mon corps des plaisirs jamais imaginés, les jouets sexuels qu’elle me fit découvrir me menèrent à des hauteurs extatiques dont je crus ne jamais redescendre. Je calquai mes gestes sur les siens et usai moi aussi de tout mon corps pour lui montrer mon désir jusqu’à ce que, épuisée, pantelante, les chairs dilatées, les sucs taris, je m’endorme.
    
    Ce sont les lèvres de Cathy sur les miennes qui me tirèrent de mon sommeil. Un peu hagarde, je me redressai, me frottai les yeux et retrouvai le monde. Mon amante s’était changée, elle portait une jolie robe longue estivale, fendue à mi-cuisse et nouée à la taille. Le décolleté, plutôt généreux, m’aurait paru indécent et vulgaire la veille, mais là, il la rendait magnifique et elle seule pouvait le porter. Un peu de rouge à lèvres, une jolie paire de pendentifs aux oreilles, elle était resplendissante, une reine. Je l’admirai, immobile, mes sens encore sens dessus dessous au point d’en être muette. Cathy me prit la main et me dit :
    
    — Je vais t’aider à te rhabiller, Catherine, lève-toi ! Dans une demi-heure, j’ai rendez-vous avec des fournisseurs et je crois qu’il faut aérer un peu la pièce, sinon ils vont capter tes phéromones et me violer… !
    
    Elle m’aida à ...
    ... retrouver une apparence décente, mais m’interdit de remettre mon shorty et mon soutien-gorge qu’elle enferma dans un tiroir de son bureau.
    
    — T’as pas besoin de ça, ma beauté, va retrouver ton mari maintenant et fais-toi chatte, excite-le, fais-le bander dur et baise-le comme tu m’as fait, montre-lui que c’est toi qui maîtrises le plaisir, que les femmes s’y connaissent mieux que les queutards à grande gueule.
    
    Elle m’administra une bonne claque sur les fesses et me poussa vers la porte, sans me quitter des yeux.
    
    Au moment où je franchissais le seuil de son bureau, elle me rattrapa par un bras et, m’hypnotisant de son regard émeraude, affichant son sourire le plus sensuel, me susurra :
    
    — Ben alors, sœur Sœur Marie-salope, on n’embrasse pas sa Mère supérieure avant de sortir ?
    
    Après un rapide baiser sur mes lèvres, elle ajouta de sa voix la plus érotique :
    
    — Je veux vous revoir demain à con et fesse, Marie, j’ai encore des choses à vous apprendre… !
    
    J’étais perdue, ma boussole interne était devenue folle et ne me guidait plus. J’étais une autre, je venais de vivre une révolution intérieure, le mai 68 de mes sens, et je sentais que rien ne serait plus comme avant. À cinquante-trois ans, mon corps venait de se révéler à moi qui croyais naïvement le connaître et l’avoir domestiqué.
    
    Mais, en même temps, mes barrières morales, mes principes, ma pudeur et mes préjugés avaient tous volé en éclat sous les assauts de Cathy, une femme. Un moment d’égarement total ou une ...