Catherine découvre un plaisir nouveau
Datte: 05/04/2025,
Catégories:
ff,
fsoumise,
fdomine,
caresses,
intermast,
Oral
fgode,
fdanus,
coprolalie,
totalsexe,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... encore, encore… ! Oh oui, comme ça, oui, écarte-moi et enfonce ta langue… ohhhh, c’est divin, ma bourgeoise…
Je perdais pied, je sombrais dans la fange et la débauche, mais une force inconnue me poussait à continuer. Le regard halluciné, je me relevai d’un coup et saisis l’abondante crinière de Cathy pour la faire se tourner vers moi. Elle eut un mouvement de recul, mais quand son regard chargé de vice croisa le mien, elle lécha ses lèvres, provocante en diable, et me souffla :
— Tu apprends vite, ma Catherine…
Je brandis mon pénis factice d’une main et elle se mit à en sucer goulûment le gland, à en lécher frénétiquement toute la longueur jusqu’à ce qu’il soit luisant de salive puis, lubrique à souhait, incarnation du sexe débridé et au sommet de ses pouvoirs hypnotiques, Cathy me réclama son dû. Envoûtée par cette jouisseuse, comme droguée, je la pénétrai lentement, prenant tout mon temps pour regarder mon organe d’emprunt s’enfoncer en elle. Quand mon pubis entra en contact avec ses fesses, Cathy retrouva ses mots les plus crus.
— Vas-y maintenant, vas-y, grosse bourge, lime-moi le cul de toutes tes forces, défonce-moi, te retiens-pas…
Je la lutinai vigoureusement, la bourrai sauvagement et glissai une main entre ses jambes pour la masturber à deux doigts. J’étais au plus profond de son intimité lorsqu’elle cambra le dos, contracta son fessier et hurla son plaisir, heureusement amorti par les coussins du canapé dans lesquels elle avait enfoui son ...
... visage.
Cathy demeura un moment immobile, le souffle court, la tête sur le côté et les yeux fermés. Inquiète, je m’approchai, le membre souillé pendant entre mes jambes. Je lui caressai timidement les cheveux et lui demandai, hésitante et craignant une bordée d’injures :
— Ça… ça va, Cathy, je… je t’ai fait mal ?
Elle émergea lentement de sa torpeur, me dévisagea d’un œil assagi avant de redevenir elle-même et de murmurer d’une voix rauque :
— Putain, Catherine, pour une demi-bonne sœur tu sais y faire, tu m’as fait jouir comme jamais, j’en tremble encore et j’ai le cul ravagé, t’es une sacrée baiseuse quand tu te lâches, je n’aurais pas cru…
Les jambes flageolantes, en proie à un chamboulement complet de mes esprits malmenés, je me laissai tomber sur une chaise. Mon initiatrice se releva, merveilleuse salope dans toute sa grâce, seulement parée de ses guêtres dorées et de son chemisier dénoué qui n’habillait plus qu’à moitié ses seins de sylphide. Dieu qu’elle était belle !
Elle s’approcha de moi et, me faisant face, s’assit à califourchon sur mes cuisses. Avec une infinie tendresse, elle me prit la tête entre ses fines mains et, du bout de sa langue, fit disparaître de mon visage les traces de son plaisir. Elle remit en place deux mèches de mes cheveux poisseux et, contemplant mon maquillage dévasté, me glissa à l’oreille :
— Excuse-moi de t’avoir démaquillée au jus de chatte, mais tu me plais, sœur Clito, et j’ai encore envie de toi. Viens !
Une large tache ...