Catherine découvre un plaisir nouveau
Datte: 05/04/2025,
Catégories:
ff,
fsoumise,
fdomine,
caresses,
intermast,
Oral
fgode,
fdanus,
coprolalie,
totalsexe,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... C’était quoi cette école ? Sainte-Catherine du Broute-Minou ? Qui c’est qui t’a appris à faire des minettes pareilles ? Tu devais être première de classe… ! T’as un don, ma câline, j’en étais sûre, alors faut pas le gâcher avec n’importe qui ! Je me rhabille et tu me suis.
Cette femme avait trouvé les clés de mon âme, elle allait maintenant prendre celles de mon corps.
Quittant la cuisine de la cafétéria, Cathy me conduisit, par un étroit escalier, à ce qui devait être son bureau. Des étagères remplies de classeurs, des livres de cuisine, un bureau sur lequel s’empilaient des factures et des courriers, un ordinateur et… son sac que je reconnus tout de suite. Le long du mur opposé, un petit canapé et une table basse devaient servir à la réception des fournisseurs… ou peut-être à d’autres activités.
S’emparant du fameux sac, elle en sortit l’objet qui maintenant avait un nom et me le lança en ajoutant :
— Je vous présente pas, vous vous connaissez, je crois ?
Je ne compris pas ce qu’elle voulait et je restai paralysée, réalisant la folie qui m’avait conduite jusqu’ici sans vraiment imaginer ce que j’allais y vivre. Je bredouillai :
— Mais… Cathy… je dois te… ou c’est plutôt toi qui… mais…
— Oh là là, Bécassine, t’as pas tellement l’esprit d’initiative, je vais te parler dans ta langue ma douce : émoustillée par les talents de ma Cheffe des ventes, j’ai très envie de lui accorder mes faveurs, alors Madame va s’équiper et me pénétrer pour que je connaisse la ...
... même extase que son amant. Pigé ? Tu me plais malgré ton cul un peu mou, t’as de la classe, t’assumes tes fantasmes alors je veux que tu me baises, j’ai jamais accordé mes faveurs à une bourge emperlousée, mais toi tu m’excites, en plus t’as osé venir ici seule, ça force l’admiration. Fais-toi plaisir maintenant, viens… !
Cramoisie, aussi fébrile que malhabile, je retroussai ma jupe et attachai avec peine à mon bassin le gode-ceinture de Cathy, puis regardai, horrifiée, ce phallus qui se dressait sur mon bas-ventre. Cathy avait enlevé son short et s’était agenouillée, le haut de son corps et ses avant-bras reposant sur le canapé, offerte.
— Laisse aller tes fantasmes, ma coincée, fais-toi plaisir et donne-moi raison de t’avoir invitée à continuer notre discussion… !
Je posai mes mains sur les fesses de cette beauté et les caressai, éblouie de leurs parfaites proportions, de leur fermeté et la douceur de leur peau puis, fermant les yeux, y déposai mes lèvres. Mon excitation monta en flèche, et ma langue se fit tantôt câline tantôt invasive, enduisant de salive le petit orifice, tournoyant, pénétrant, je voulais lui donner du plaisir, alors qu’elle nous menaçait d’on ne sait trop quoi. Ce devait être la variante sexuelle du syndrome de Stockholm.
Abandonnant sa légendaire vulgarité, Madame « lutte des classes » ronronnait, soupirait, gémissait et me guida sensuellement dans mon apprentissage du plaisir donné à une femme.
— Oh oui, Catherine, ta langue est magique, ...