Catherine découvre un plaisir nouveau
Datte: 05/04/2025,
Catégories:
ff,
fsoumise,
fdomine,
caresses,
intermast,
Oral
fgode,
fdanus,
coprolalie,
totalsexe,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... n’en avais quasiment jamais vu, les films pornos n’ayant pas eu droit de cité dans mon éducation provinciale catholique. Sa fente laissait perler des gouttes de désir, je restai là immobile, ne sachant pas quoi dire ni faire.
— Alors, t’as vu le Petit Jésus ou quoi ? T’as pas le mode d’emploi ? Vas-y, ma bourgeoise, sois pas timide, lèche-moi le minou et envoie-moi au Ciel, c’est la messe du cul aujourd’hui, t’es à l’Église du plaisir ici… !
J’avançai timidement la langue et recueillis quelques perles de désir dans les replis de son sexe lisse, elle avait un goût fort, mais que je trouvai enivrant, je pressai ma bouche un peu plus fort sur sa petite crevasse et me mis à bouger ma langue pour écarter les pétales de sa corolle. Elle poussa un petit gémissement, et sa main se planta dans mes cheveux, pressant ma tête contre son entrecuisse.
— Oh oui, suce, ma frustrée, suce-moi bien ! Aussi bien que tu as léché la rondelle de ton connard de directeur, vas-y, bordel, fais-moi jouir !
Je repris mes caresses, mais, de toute évidence, cela ne lui suffisait pas. Elle me souleva par le col de mon chemisier et me tira jusqu’à la table derrière elle, où elle s’allongea sur le dos. Là, elle écarta et releva ses jambes en les retenant de ses deux mains, m’ouvrant tout grand ses chairs et s’offrant à mon regard éberlué. La Création du Monde de Courbet, mais en version dynamique de salope d’arrière-cuisine.
Cathy me sortit de ma rêverie technico-culturelle en feulant :
— ...
... Tu m’as chauffée à blanc, maintenant, assume et bouffe-moi la chatte, broute-moi le cul, doigte-moi et fais-moi exploser, lâche-toi et profite de te faire plaisir ma jolie frustrée… !
Curieusement, sa gouaille doublée d’une vulgarité sans bornes qui d’ordinaire m’insupportait m’enhardit et je me ruai sur son entrejambe, léchant en profondeur, aspirant le jus qui en coulait abondamment, j’introduisis deux doigts dans son antre du plaisir et cherchai son point G. Cathy râlait et prononçait des mots incompréhensibles pour moi, son corps se tordait et j’avais de la peine à suivre ses mouvements. La sentant proche du point de non-retour, je commençai à stimuler son bouton d’amour de petits coups de langue de plus en plus appuyés, rapprochés et, juste avant que ses mains ne se crispent dans mes cheveux et que ses hanches ne se propulsent en avant, j’enduisis mon index de salive et l’enfonçai d’un coup dans son orifice étroit.
Je fus prise de panique en sentant Cathy arquer son corps sur la table, en l’entendant rugir, surtout qu’elle avait emprisonné ma tête entre ses cuisses et que je devais accompagner ses ruades sauvages. L’orage se calma, et son étreinte se relâcha. Mon visage était luisant de son plaisir, mes mains tremblaient, je dus m’asseoir.
Cathy se redressa, radieuse, et toujours aussi romantique, me demanda :
— Dis donc, ma chérie, tu m’as transportée au paradis… ! Tu caches bien ton jeu. T’as pris des cours supplémentaires la nuit dans ton école de cathos ? ...