Rien ne vaut le théâtre classique
Datte: 02/04/2025,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
extracon,
cadeau,
fête,
humilié(e),
dispute,
intermast,
Oral
légumes,
théatre,
historique,
théâtre,
historiqu,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... ?
Béatrice : Hélas, je n’ai pas sa trique pour vous faire du bien. Mais j’y pense, appelez une servante, Antoinette.
Antoinette : Mais nous sommes nues.
Béatrice : Et alors ? Une servante doit tout accepter de vous. Et si elle va le répéter, vous la ferez pendre, c’est simple.
Antoinette : Très bien.(Elle claque dans ses mains. Une servante entre, une fille très jeune et très jolie.)
Béatrice : Ma petite, tu vas filer à l’office et nous ramener un concombre, ou une courgette, au pire une carotte.
La servante : Je vois bien ce que veut Son Altesse. Dois-je prendre le plus gros modèle ?
Béatrice : Tu as tout compris. File !(La servante sort.) Elle est jolie, cette fille. Quand elle reviendra, nous la garderons avec nous.
Antoinette : Qu’allons-nous faire de légumes, Béatrice ? Je n’ai pas faim.
Béatrice : Un peu de patience, ma chérie. D’ailleurs, vu comme tu me bouffes les nichons, on dirait bien que tu es affamée.
(La servante revient)
La servante : Voilà, Altesse, ce que j’ai pu trouver. Cette carotte un peu tordue et ce radis noir, ma foi bien épais, mais assez vilain. Si c’est pour Sa Majesté, il me semble un peu gros.
Béatrice : Viens donc jouer avec nous, vilaine cochonne. Déshabille-toi vite, le radis t’est destiné.
Antoinette : Il ne devait pas être pour moi ? Oh, mais que cette petite bonniche est bien faite. Regarde, Béatrice, les jolis nichons de celle-ci !
Béatrice : Nous allons commencer par la soubrette. Viens-là, toi ...
... et écarte les cuisses bien grand que ta reine puisse tout voir. Tiens ce radis, Antoinette et pistonne-la avec.
Antoinette : Incroyable, sa petite chatte avale sans effort ce gros machin ! Elle est bien mouillée, cette petite, elle aime le radis. À toi, Béatrice.
Béatrice : Que nenni, ma belle. Moi, j’ai déjà eu la pine à Joseph. C’est toi qui as besoin d’entraînement. Viens donc me montrer ce petit minou que tu as entre les jambes.
Antoinette : Miaou !
Louis : Mais que fait-elle ? On me l’annonce depuis deux heures maintenant.
Philippe : Sois patient, c’est une petite vierge, elle est intimidée.
Louis : Une petite gourde entêtée, oui. Et si elle refusait ?
Philippe : La belle affaire ! Tu la répudies et tu en trouves une autre.
Louis : La gourde peu importe, mais tu sais bien qu’on a besoin de l’alliance avec son père.
Philippe : Tu veux que j’aille la chercher ?
Louis : Bien joué, Philippe, mais non. Je ne tiens pas à ce que tu la baises le premier. C’est ta reine, merde, espèce de queutard !
Philippe : Ça te va bien de dire ça, tiens. Si tu n’avais pas une aussi mauvaise réputation, elle serait déjà là à te supplier de la fourrer comme la petite oie blanche qu’elle est. Mais aussi, tu as peut-être eu tort de la confier à Béatrice.
Louis : C’est la plus belle salope de la cour, je voulais qu’elle me la dévergonde vite fait.
Philippe : Je la soupçonne d’être gouine en plus de salope.
Louis : Et alors ? Qu’elle baise ma femme, je m’en ...