Rien ne vaut le théâtre classique
Datte: 02/04/2025,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
extracon,
cadeau,
fête,
humilié(e),
dispute,
intermast,
Oral
légumes,
théatre,
historique,
théâtre,
historiqu,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... vois que vous savez être coquine ! Je crois que nous allons bien nous entendre. Regardez ! hmmm ! Vous voyez, je suce et je tâte les couilles. C’est bon Joseph ? Hmmm !
Joseph : Ah ! oui alors ! Attention, je vais lâcher la purée ! Écartez-vous, Majesté avec votre belle robe !
Antoinette : Oh là là ! Quel jet ! Ses couilles étaient bien pleines, n’est-ce pas ?
Béatrice : Oh, dans deux heures, il aura rechargé. Ce Joseph est un chaud lapin. Voyez, j’en mets au bout de mon doigt. Vous voulez goûter, Antoinette ?
Antoinette : Berk, non. Je pense que la purée royale est meilleure que ça. On verra demain.
Béatrice : Merci Joseph, tu peux partir. Antoinette, il faut que j’aille me laver. Veuillez me permettre de me retirer.
Antoinette : J’y suis tout à fait favorable, très chère, tout ce jus sur votre ventre, c’est… brr. Mais, revenez-vite, je vous prie, car j’ai encore des choses à vous demander.
(Joseph et Béatrice sortent.)
(Antoinette est seule, allongée sur son lit. Louis et Philippe entrent.)
Louis : Permettez cette intrusion, madame, car j’étais impatient de vous connaître.
Antoinette (se redressant) : Mais qui êtes-vous, monsieur ?
Philippe : Eh bien, ce… monsieur est le roi de ce pays et je crois que vous allez l’épouser demain si la rumeur qui court dans le palais est fondée.
Louis : Et voici mon meilleur ami, Philippe, comte de Gamahuche. Les présentations sont faites. On m’avait dit que vous étiez belle, madame, mais on ne m’avait ...
... pas menti. Qu’en penses-tu, Philippe ?
Philippe : Eh bien voilà une bien jolie pouliche, majesté. Et si vous changez d’avis, je suis preneur.
Louis : Je te connais, va. Tu seras certainement preneur même si je l’épouse. Ce ne sera pas la première que nous partagerons.
Antoinette : Majesté, ces propos sont inqualifiables ! Que faites-vous de mon honneur ?
Louis : Je n’ose pas vous dire ce que je vais en faire, ma petite. En tout cas, vous avez du caractère, c’est bien. Nous allons certainement bien nous amuser ensemble. Elle est peut-être un peu maigrichonne, non ? Je les aime plus rondes, d’habitude.
Philippe : Que vous dire, Majesté ? Il ne s’agit pas d’un divertissement, mais de l’avenir du royaume. Il s’agit de l’engrosser au plus vite, c’est tout. Je sais que vous aimez les grosses, Majesté, vous baiseriez une truie. Moi, ces petits nichons, j’en raffole.
Antoinette : Monsieur, je sais ce qu’est un petit nichon. Quand je serai reine, je vous ferai couper la queue et on verra bien si vous chantez encore la même chanson !
Louis : Oh là, Madame la coupeuse de queue, du calme. Philippe plaisante, et quand vous serez reine, vous ne châtrerez personne. Le roi, c’est moi, il ne faudra pas l’oublier et m’obéir.
Antoinette : Oh vous, vous ne perdez rien pour attendre, mon futur mari ! Je sais que vous avez des courtisanes dans chaque chambre de ce château. Sachez que je les renverrai au plus vite ! Le devoir conjugal, il ne vous restera que cela pour vous ...