Rien ne vaut le théâtre classique
Datte: 02/04/2025,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
extracon,
cadeau,
fête,
humilié(e),
dispute,
intermast,
Oral
légumes,
théatre,
historique,
théâtre,
historiqu,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... salope et vous allez en avoir plus que ce dont vous avez besoin. Oh ouiiiiiii !
Antoinette : Ah ! Ce n’est pas mal pour un premier jet. Je vous accorde cinq minutes, mon petit Louis et on remet ça.
(Antoinette se brosse les cheveux en chantonnant quand Béatrice entre)
Béatrice : Bonjour, Majesté. Je suis contente de vous trouver de bonne humeur.
Antoinette : Majesté ? Je ne suis plus ta petite Antoinette ?
Béatrice : Vous êtes reine, maintenant.
Antoinette : Eh bien, je t’ordonne de me tutoyer toujours et de m’appeler Antoinette. Sinon, je te fais manger par la meute de la chasse à courre que mon époux organise en mon honneur dimanche.
Béatrice : Alors, Antoinette, puisque tu refuses de grandir, raconte-moi cette nuit de noces, tu sais bien que c’est ce qui m’intéresse.
Antoinette : Ma chérie, je n’ai pas été royale, mais impériale ! Je l’ai mené par le bout de la queue du début à la fin, mais si tu veux des détails, tu dois te déshabiller et venir au lit avec moi.
Béatrice : À cette heure ? Est-ce bien raisonnable ?
Antoinette : Mes désirs sont désordres. Qui a écrit cette phrase ?
Béatrice : Je crois qu’elle n’a pas encore été écrite, Antoinette.
Antoinette : Alors il faudra. Dépêche-toi, j’ai le jus qui coule.
(Béatrice se déshabille et rejoint Antoinette qui est déjà nue sous le drap.)
Antoinette : Voilà, ma chérie. Tu me lèches et je raconte. Hmmm. Comme ça. Alors il bandait bien. J’avais un peu peur qu’il reste cynique et ...
... mou, mais tu avais raison, dans l’intimité, c’est encore un jeune homme et il a une belle trique qu’il a réussi à recharger cinq fois. Il veut recommencer cette nuit, d’ailleurs. Il n’est pas sûr d’avoir réussi à me faire un garçon, dit-il. Il va manger force cochonnailles aujourd’hui et remettre le couvert dès ce soir.
Béatrice : Gloup. Pardon, je m’étrangle avec ton jus. Tu as accepté ?
Antoinette : Oui. Il est trop chou quand je le chevauche et qu’il tremble en me tâtant les fesses.
Béatrice : Tu aurais dû le faire patienter une nuit. C’est toujours bon quand on se refuse un peu.
Antoinette : Mais j’en ai envie moi aussi. Malgré tes leçons, je n’imaginais pas que c’était si bon. Une bite vivante, c’est quand même bien meilleur qu’un radis noir !
Béatrice : Et vous avez varié les positions ?
Antoinette : J’ai essayé toute la gamme, Madame la putain royale. Tu peux être fière de ton élève.
Béatrice : Et si mon élève me montrait son savoir-faire pour s’occuper d’un clitoris ? Je mérite bien une petite caresse, non ?
(Louis et Philippe entrent, sans frapper ni s’annoncer, à leur habitude.)
Louis : Eh bien, Ma mie, je viens voir si vous vous êtes remise de notre folle nuit et je vous trouve au lit avec cette délurée de Montvénus ? Ne seriez-vous pas la sage épouse que l’on m’a promise ?
Philippe : Je crois que vous êtes cuite, cette fois, ma petite Béatrice. Majesté, offrez-la-moi, je la partagerai avec une bande de mousquetaires. Elle retiendra la ...