TT Com – J’ai bien fait de rester tard ce soir - Histoires de Sexe

TT Com – J’ai bien fait de rester tard ce soir

... mains sur ma poitrine, Béatrice marque une pause, puis elle ajoute, mi-figue mi-raisin :

— Finalement, il faudrait que vous me déceviez…
— Que je vous déçoive ?
— Oui, comme ça, tout reviendrait à la normale.

Je me mets à rire :

— Hahaha ! Désolé pour vous, Béatrice, mais j’ai plutôt envie de vous en mettre plein les mirettes et d’être encore plus haut que la hauteur que vous m’attribuez !
— La vanité masculine ?
— On va le dire comme ça !

Je la libère, mais pour mieux la posséder. Impérieux, j’ôte d’abord sa chemise, puis je m’attaque à son soutien-gorge, sans qu’elle esquisse le moindre geste de protestation :

— Vous faites quoi, Tanguy ?
— Je vous mets à l’aise.

Une fois le haut dévêtu, je m’empare de ses magnifiques seins que je pelote joyeusement.

— Je me permets d’être trivial avec vous : vous avez franchement des nichons de rêve !
— Ça me fait tout drôle quand vous dites ça…
— Pour quelle raison ?
— Déjà, mon mari ne s’en occupe pas beaucoup, et puis… le terme que vous venez d’employer.
— Votre mari a tort ! Mais je veux bien rattraper pour lui tout le temps perdu !

Elle glousse :

— Oh vous alors !
— Aimeriez-vous les mots un peu lestes ?
— Oui… parfois… mais pas trop… enfin… je me comprends !
— Je pense que, moi aussi, je vous comprends.
— C’est-à-dire ?

J’explique ce que je pense avoir compris :

— Que vous ne détestez pas un peu de piment, mais que trop de piment brûle la langue et la bouche.
— Vous savez bien dire les ...

... choses…

Je me contente de sourire, continuant mon petit manège sur ses seins, ses roberts, ses nichons, ses lolos, ses miches, ses roudoudous et j’en passe. Avec un petit sourire coquin, Béatrice se laisse faire, plutôt ravie qu’on s’occupe de sa petite personne. Si son mari la néglige, alors c’est un abruti de première catégorie !

Mais moi, je compte bien profiter de sa femme, et pas qu’un peu. Je passe à la suite :

— Veuillez vous asseoir sur le bord du lit…
— Euh… comme ça ?
— Oui, très bien. Excusez-moi, chère Béatrice, mais j’ai trop envie de m’offrir ce petit plaisir !
— Ah ? Lequel ?

Prestement, fléchissant un peu les genoux, je déballe mon artillerie, pour venir ensuite la nicher entre les deux beaux monts blancs de sa poitrine. Aussitôt, Béatrice capture ses seins pour venir mieux encadrer ma verge bien raide. Délicatement, elle me masse avec ses doux lolos, tandis que je vais et je viens entre ses masses molles et chaudes.

— Ah ! Vous ne pouvez pas savoir à quel point c’est bon d’être niché là !
— Vous êtes un gros coquin, Tanguy !
— Tant mieux !

Je vois bien qu’elle souhaite dire quelque chose, je l’encourage :

— Je vous écoute…
— Euh… je… Vous avez une belle verge !
— Merci du compliment !
— Vous voyez, faire ce genre de chose, ça ne viendrait pas à l’idée de mon mari… Et puis… il est… sa chose est moins belle que la vôtre, ça, c’est certain !

C’est flatteur ! Je m’amuse à demander :

— Ah oui ? Et pour quelle raison, sur quels ...