Au bord de la rivière - Histoires de Sexe

Au bord de la rivière

... main !
— Uh ! T’es un rapide dans ton genre !

Continuant son diabolique pistonnage, il s’accroche encore plus fermement aux hanches blanches :

— Sauf quand je baise, ma jolie ! J’aime faire durer les choses !
— T’as la tige fine mais dure de chez dure, mon salaud !
— C’est pour mieux t’enculer, mon enfant !
— T’es un grand méchant loup pas mou, toi !

Tandis que Viviane agite frénétiquement ses doigts dans sa chatte dégoulinante, Jean donne encore divers coups de queue pour mieux profiter de la situation, tout en résistant au mieux :

— Aaah, putain, j’en viens à franchement regretter de te pas t’avoir rencontrée plus tôt ! Quand on a la chance de rencontrer une belle dévergondée comme toi, on ne la lâche plus ! Ton mari en sait quelque chose, je parie !
— Belle déclaration !
— Ah oui, je peux déclarer haut et fort que t’es la meilleure pute que je connais !
— Une pute, ça se fait payer. Moi, c’est gratuit.

Jean s’agrippe un peu plus encore :

— Eh bien, si ton boulot te fait chier, tu sais comment te reconvertir pour gagner plein de sous !
— En parlant de chier, c’est ce qui va m’arriver si tu continues trop longtemps comme ça !!
— Hahaha ! T’es vraiment une sacrée garce dans ton genre ! J’adore !

Savourant chaque entrée et sortie, Jean plonge et replonge voluptueusement dans un tunnel de plus en plus dilaté. Puis n’y tenant plus, après s’être enfoncé encore plus loin dans les sombres entrailles, il libère à nouveau son sperme afin d’envahir et ...

... de posséder les profondeurs de ma femme. Celle-ci en profite pour se laisser aller, elle aussi, leurs cris de plaisir et de jouissance se mélangeant.

Encastrés l’un dans l’autre, ils jouissent tous les deux durant de longs moments.

Puis Jean se retire lentement pour venir s’affaler. Libérée, ma femme fait de même. Les voici allongés côte à côte. Récupérant peu à peu, son amant caresse à présent ses seins restés néanmoins luisants. Il reprend son souffle puis murmure à sa voisine :

— Dis, ma jolie, tu veux pas divorcer pour m’épouser ?
— Tu parles, tu te lasserais vite de m’enculer toutes les nuits !
— Ah bon ? Tu ne serais pas contre que je t’encule toutes les nuits ?
— Pff ! Tu sais qu’il y a d’autres chemins dans la vie…

Puis ils se mettent à rire tous les deux. Domitien les accompagne. Je constate que ce dernier est à nouveau en forme pour continuer à profiter des bonnes dispositions de ma femme. Il est vrai qu’il ne faut jamais remettre à demain, ce qu’on peut faire le jour même, surtout quand on met la main (pour ne pas dire autre chose) sur une femme très permissive.

Se laissant toujours caresser par Jean, ma femme s’amuse de la tournure des événements :

— Eh, une femme et trois hommes, ça fait plein de possibilités !
— Je ne te le fais pas dire, ma jolie ! Je peux même te calculer ça à la louche.
— Ah bon ?
— Voyons voir : branlette, sucette, cravate, coït, sodo et rien, ça fait six possibilités. Nous sommes trois mecs, donc six puissance trois… ...