Au bord de la rivière - Histoires de Sexe

Au bord de la rivière

... :

— C’est trop facile… c’est trop lubrifié… c’est con !
— C’est logique, ton cousin m’a foutu à fond des tas de litres de foutre dans le con !
— Ça rime, même si ce n’est pas de la haute poésie.
— T’es venu pour baiser, pas pour poéter !
— Ça rime aussi. Tu as raté une vocation de poétesse du peuple ! Bouge pas…

Jean se retire, puis saisissant la base de sa verge, il pointe sa fine tige, un peu plus haut. Puis il appuie délibérément son gland dans la cuvette ourlée. Viviane s’alarme :

— Eh ! Tu fais quoi, là ?
— Je change de trou, c’est aussi simple que ça ! T’inquiète pas, ma bite est fine, ça ne te fera pas mal. Je parle d’expérience !

Sans attendre la réponse, Jean pousse son avantage, et son gland disparaît bien vite dans les sombres profondeurs de ma femme. Celle-ci pousse un petit ah de surprise. Continuant à s’introduire, son nouvel amant demande :

— T’as déjà été enculée, non ?
— Oui, j’ai déjà été enculée, mais avant, on me demandait la permission !
— Dans ce cas, puis-je avoir l’aimable permission de continuer à m’enfoncer ?
— Pff, puisque t’es déjà planté…

Jean se positionne un peu autrement, puis petit à petit, il continue son exploration du sombre tunnel. De son côté, ma femme baisse la tête, subissant cette longue introduction en elle, tout en se masturbant. Les centimètres disparaissent les uns après les autres… interminablement…

— Ça y est, ma jolie, j’ai tout mis !
— Eh bé ! J’ai cru que ça n’en finirait jamais ! C’est pire ...

... qu’un manche à balai, ta bite !
— T’as mal ?
— Non, ça va… mais c’est quand même quelque chose, ton machin dans mon cul !

Jean affiche un sourire satisfait :

— Maintenant, tu sais ce que ça donne quand une longue bite est plantée dans ton cul.
— Figure-toi que je ne t’ai pas attendu pour le savoir !
— Oooh, je suis déçu, je pensais être le premier.
— Si ça peut te consoler, t’es le premier inconnu qui m’encule sans m’avoir posé la question !

Jean continue d’afficher un sourire satisfait :

— Je suis flatté ! Tiens, pendant que j’y pense, c’est quoi cette histoire de manche à balai ?
— À ton avis ? Occupe-toi de moi plutôt que de me demander ce genre de connerie !
— T’es vraiment une sacrée, toi ! Eh bien, soit, ma jolie ! Maintenant, il convient de profiter à fond de ce beau cul !

Lentement, il commence un long mouvement de va-et-vient, ressortant la moitié de sa tige pour mieux la réintroduire ensuite. Puis l’action s’accélère, la colonne coulisse de plus en plus vite, sans effort apparent, largement lubrifiée par le mélange de cyprine et de sperme issu de la fente détrempée où elle était plongée avant. Ma femme se pince parfois les lèvres, souffle, mais semble apprécier l’outrage.

En sueur, Jean se laisse aller de plus en plus, s’appropriant totalement le cul de ma femme :

— Ah putain de putain ! Que t’es bonne !
— Ah putain de putain ! Que t’es long !
— Ah ma petite salope, on est fait pour s’entendre ! Si t’étais pas déjà mariée, je demanderais ta ...