1. Délurée tardivement


    Datte: 31/03/2025, Catégories: fh, fplusag, telnet, Oral pénétratio, fouetfesse, occasion, internet, Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe

    ... Marie-Anne, Marie-Anne, dépêche-toi, le taxi nous attend », de quoi me foutre bien la honte auprès des autres locataires. Devant tant d’énervement, j’ai fini par ouvrir, bien décidée à mettre le holà, mais quand j’ai vu ce bel homme devant la porte, bien habillé, très distingué, un soupçon de lubricité dans le regard, c’est vrai que j’ai fondu, je me suis laissé aspirer dans cette spirale de folie… Je me suis retrouvée dans cette chambre d’hôtel où il m’a fait tout ce qu’il désirait. Il m’a baisée et rebaisée toute la nuit à forts coups de reins, dans plusieurs positions, en me claquant les fesses, il a même insisté pour me sodomiser et moi comme une cruche je me suis laissé faire.
    — Putain, le salaud ! Il a abusé de toi, de ta fragilité !
    — Je suis désolée.
    — J’espère qu’il a mis une capote au moins.
    — Oui, ne t’inquiète pas pour ça, il avait ce qu’il fallait.
    — Et tu as joui ?
    — Je dois avouer que oui, ce n’était pas désagréable.
    — Et tu vas le revoir ce vicelard ?
    — Je ne sais pas… Maintenant qu’il a rajouté une vieille à son tableau de chasse, il me téléphone moins.
    — Mais s’il te le redemande ?
    — On verra bien.
    — Je suis écœuré, t’es vraiment qu’une grosse cochonne !
    — Allez, mon gros jaloux, ce n’est pas si grave, ressers-toi un apéro si tu veux.
    — Il y a de quoi être jaloux, tu disais toi-même que c’était un collectionneur de femmes !
    — Écoute, il a su y faire et je ne suis qu’une faible femme.
    — Je ne sais pas si j’ai envie de te baiser ou de te donner ...
    ... une bonne fessée. Les deux à mon avis. En tout cas tes aveux me font triquer. Pas étonnant, avec toutes les coquineries dont tu m’abreuves.
    
    Sur ce, je me redresse et sors ma queue à nouveau raide.
    
    — Mais le repas est prêt ! s’insurge-t-elle.
    
    Un petit passage en cuisine pour éteindre les feux sous les casseroles, et quand je reviens je contourne la table et l’embrasse à nouveau en dégrafant sa blouse. Pour se faire pardonner, elle se donne à fond à ce baiser. Je sens qu’elle est prête à se faire tringler.
    
    — Allez, viens près de l’ordinateur et penche-toi en avant.
    
    Après avoir libéré les boutons du bas, je trousse sa blouse et la remonte en haut de ses grosses fesses bien blanches, un fessier large et bombé. Putain quel cul ! Je le claque de bon cœur et avec force.
    
    — Putain de vicieuse, avoue que ça t’a plu de te faire baiser par ce bellâtre ! Il t’a bien niquée le toubib, hein ?
    
    Je claque de plus en plus fort, elle grogne à chaque fessée, mais manifestement pas de douleur, visiblement elle apprécie cette perverse.
    
    Alors je glisse ma queue entre ses cuisses après avoir enfilé un préservatif. Je trouve facilement l’entrée de sa caverne humide de désir et pousse fort pour bien l’enfiler au plus profond.
    
    — C’est ça que tu aimes, ma chaudasse, une grosse queue qui te laboure la chatte, et un gros cochon comme moi qui te claque le cul, dis-je en joignant le geste à la parole.
    
    Elle grogne de contentement à chacun de mes coups de bite et encore plus quand ...
«12...6789»