Délurée tardivement
Datte: 31/03/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
telnet,
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
occasion,
internet,
Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe
... que je me suis donnée récemment à un homme.
— Entièrement ? Mais… tu ne m’en as même pas parlé !(Je dois avouer que je l’ai mauvaise.)
— Je ne voulais pas te faire de peine, car tu voulais que je te réserve l’exclusivité.
— Mais, je croyais que tu disais toujours la vérité !
— Je dis toujours la vérité, j’ai juste péché par omission.
— Une grosse omission quand même ! Purée, mais c’était qui ce mec ? Le petit papy qui est toujours fourré chez toi, c’est ça ?
— Tu parles de Didier ?
— Oui, tu ne me parles que de lui ces temps-ci. Toujours fourré chez toi, c’est le cas de le dire, maintenant il est même fourré en toi. À croire que vous allez bientôt vous marier.
— C’est vrai qu’il m’a à la bonne celui-là et qu’il s’ennuie chez lui. En plus, il n’habite pas très loin, il n’a qu’à prendre le bus. Il vient de temps en temps pour discuter.
— Pour discuter, pour te peloter, se faire sucer et plus si affinité ! Tu l’as laissé te tringler, c’est ça ?
— Oh, tu sais, il a souvent des problèmes d’érection, il a beau prendre la petite pilule bleue. Un jour qu’il était bien raide, c’est vrai qu’on a eu envie d’essayer. Mais ça ne s’est pas fait, il n’a pas réussi à me pénétrer, car il a débandé aussi vite.
— S’il n’a pas concrétisé, alors ça ne compte pas vraiment.
— Ce n’est pas de lui que je te parle, mais d’un autre !
— Un autre ? Quel autre ?
— L’orthopédiste !
— Putain de salope… J’en étais sûr qu’il allait t’avoir celui-là. Mais comment as-tu pu succomber à ce ...
... queutard ? Comment a-t-il fait pour te convaincre et pourquoi t’être donnée comme ça à lui ?
— J’en suis encore moi-même tout étonnée… Mais ce soir-là, ça a été la folie. Il m’a téléphoné dans la soirée et était déjà apparemment très excité quand on a commencé par parler de sexe. Sa voix est grave et envoûtante, autoritaire aussi, ce qui n’est pas pour me déplaire. À force, je me caressais en buvant ses paroles, et lui aussi, je pense bien. Et tout d’un coup, voilà qu’il me dit « Ce soir, je suis à Paris dans un petit hôtel et j’aurais très vite fait de venir te chercher ! ». À Paris, j’avais du mal à la croire, les hommes sont souvent tellement menteurs. Mais il insistait : « Oui du côté de ta banlieue en plus. Alors je viens ou je ne viens pas ? ». Un peu plus tard, devant son insistance, je me suis entendu dire « Oui », mais sans trop y croire. Il faut dire que j’étais à ce moment-là au bord de la jouissance, excitée comme une puce. Et puis je n’y croyais qu’à moitié. Pourtant je ne sais pas par quelle folie je lui ai donné mon adresse. « Je serai là dans moins d’une heure ! ». J’ai rafistolé ma blouse que j’avais ouverte pendant nos échanges et ai repris mes activités sur l’ordinateur. Mais je te jure qu’à ce moment-là, je ne pensais pas avoir sa visite, j’étais même un peu amère qu’il m’ait laissée comme ça au bord de la jouissance. Quelle ne fut pas ma surprise quand j’entendis quelque temps plus tard tambouriner à ma porte ! Une voix grave vociférait dans l’escalier : « ...