1. Délurée tardivement


    Datte: 31/03/2025, Catégories: fh, fplusag, telnet, Oral pénétratio, fouetfesse, occasion, internet, Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe

    ... largement les cuisses en guise d’encouragement.
    
    — Purée, Marie-Anne, tu es trempée d’envie.
    
    Elle grogne sous mes caresses.
    
    — J’ai très envie que tu me suces la bite maintenant.
    
    Délaissant son ordinateur, elle se tourne sans rechigner vers moi, saisit ma queue avec sa main gauche et la porte à bouche. Putain que c’est bon.
    
    — Vas-y, avale-la en palpant mes couilles !
    
    Les messages continuent d’arriver sur l’ordinateur, alors je prends le clavier et réponds aux différents intervenants : « Elle ne peut plus vous écrire, elle est en train de me lécher la queue ».
    
    À toutes ces questions, je ne peux que répondre par l’affirmative.
    
    J’encourage aussi ma pompeuse :
    
    — Vas-y, continue, bien à fond, avoue que tu aimes ça sucer des bites, ce qui a pour effet de la faire à nouveau grogner…
    
    Oh la vache, je vais venir, je lui tiens la tête, elle a de l’expérience, elle est vraiment douée. Mais, au dernier moment, lorsqu’elle sent que je vais venir, elle s’écarte et dirige le jet vers le mur que j’asperge comme un malotru.
    
    — Ça t’a fait du bien ? demande-t-elle alors avec espièglerie(comme si elle ne le voyait pas !).
    — C’est comme ça que tu fais avec les autres hommes ?
    — Très souvent oui. Il y en a juste deux qui m’ont forcée à avaler, mais j’ai quand même tout recraché.
    — Tu n’aimes pas ça boire du jus ?
    — Avec le père de mon fils, je le faisais de temps en temps, car, à l’époque, j’étais prête à tout pour mon compagnon, mais je ne suis pas fan avec les ...
    ... autres hommes.
    
    Je lui roule une pelle en la caressant à nouveau, puis la fais se relever et entreprends de lui retirer complètement sa blouse.
    
    — Mais qu’est-ce que tu fais, Jean-Pierre ?
    
    Elle fait son ingénue.
    
    — J’ai envie, moi aussi, de te faire du bien.
    
    Je la fais allonger nue sur le canapé puis m’agenouille entre ses cuisses et entreprends de la lécher. Ses longs poils noirs qui tournent au gris sont bougrement excitants, de même que ses longues lèvres charnues qui débordent de sa vulve. Elle sent assez fort la cyprine et même un peu la pisse, mais ça m’émoustille. Je redouble d’intensité pour la manger, elle ne tarde pas à jouir en libérant de nouveaux jets de son liquide d’amour.
    
    — Eh bien, dis donc !
    
    Elle met un certain temps à reprendre ses esprits tandis que ma langue continue à s’affairer sur son entrecuisse pour recueillir son jus de femme.
    
    Ensuite nous nous rhabillons sagement.
    
    — Je vais préparer le repas, tu n’as qu’à nous servir un apéro.
    — Pour toi une Suze, je suppose.
    — Un fond de verre, car je suis vite éméchée et après je fais n’importe quoi.
    — Humm, si tu perds le contrôle, je pourrais peut-être te culbuter et abuser de tous tes trous.
    — Oh, cochon ! Pour ça, on verra.
    
    Lorsqu’elle revient face à moi avec un paquet de gâteaux à apéritif et des cacahouètes :
    
    — J’aimerais être le premier homme à te pénétrer dans ta nouvelle vie.
    — Je sais… mais je dois t’avouer que c’est raté !
    — Comment ça "c’est raté" ?
    — Le fait est ...
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