1. Jean-Phi


    Datte: 26/07/2019, Catégories: fh, extracon, cadeau, grosseins, fépilée, caférestau, anniversai, BDSM / Fétichisme entreseins, Oral 69, pénétratio, fdanus, Auteur: Broutchoux, Source: Revebebe

    ... la cuisine, le laissant seul, hébété, dans le canapé. J’ai bu deux grands verres d’eau pour que ça descende bien et je lui ai apporté une de tes bonnes bières belges bien fraîches.
    
    — Ah oui, je ne te l’ai pas encore dit : cet après-midi j’étais habillée comme une nonne en attendant de me préparer pour nous ce soir. Je portais un leggins noir, un vieux pull, et ma lingerie de grand-mère, comme tu l’appelles. Comme il avait déchargé très vite, j’étais encore toute chose et un peu déçue ; même s’il ne m’avait jamais baisée, ma fierté était de lui réserver à chaque fois un traitement de haut vol. Mon plaisir était le sien, qu’il jouisse pleinement et longuement. J’étais allée trop vite, il n’avait pas vraiment profité. J’avais du temps devant moi. Alors, pendant qu’il récupérait en buvant ta bière, j’ai enlevé mon pull, ôté mon soutien-gorge et je me suis approchée de lui à quatre pattes, lentement, les seins pendants, en me pourléchant les babines, en le regardant droit dans les yeux. Il a avalé de travers, toussé deux-trois fois, puis il s’est levé et s’est mis à poil à la vitesse d’un TGV pour se rasseoir face à moi, les jambes bien écartées. Restant à quatre pattes, les mains au sol, j’ai commencé par lui lécher les couilles (ah oui, il se rase les couilles, lui : tu devrais en faire autant). Son vit a repris vie ; plus je léchais ses burnes, plus il se dressait, fier comme Artaban. Puis ma langue est remontée sous sa verge, le long de la grosse veine qui palpitait, ...
    ... jusqu’au frein. Un coup de langue sur le gland et je suis repartie tout en bas. Je l’ai torturé ainsi durant plusieurs minutes, puis je suis remontée en l’embrassant sur le pubis, léchant son torse, suçant ses tétons ; mes seins caressaient sa queue bien raide. Après lui avoir léché son cou râpeux, je lui ai à nouveau roulé une pelle profonde en saisissant sa queue à deux mains. Il a pris ma tête entre ses mains pour répondre longuement à mon baiser. Quand il m’a relâchée il m’a complimenté : « Tu es une merveilleuse salope. » J’ai alors englouti sa bite dans ma bouche, je l’ai sucée, léchée, aspirée ; pour bien la lubrifier, je lui ai fait deux allers-retours au fond de ma gorge, générant un flot de salive. Ensuite j’ai pris religieusement son cierge entre mes seins ; ça glissait tout seul, il était ravi, d’autant qu’à chaque fois qu’il poussait un peu je titillais son gland du bout de ma langue. Je l’ai sucé à nouveau, j’ai pris ses couilles en bouche, l’une après l’autre. Il poussait des petits gémissements, me traitant de sac à foutre, de reine des salopes, de bouche à bites. J’ai eu envie de l’embrasser à nouveau. Pendant que nos langues se mélangeaient, j’ai senti sa main se glisser entre mes jambes et caresser mon minou à travers le leggins. Je l’ai regardé d’un air surpris :
    — Tu te permets bien des choses : c’est la propriété de mon mari, son exclusivité.
    — Arrête avec tes gamineries, Zaïa, ton leggins est trempé, tu crèves d’envie de te faire mettre ma 22 long rifle.
    — ...
«12...6789»