Jean-Phi
Datte: 26/07/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
cadeau,
grosseins,
fépilée,
caférestau,
anniversai,
BDSM / Fétichisme
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
Auteur: Broutchoux, Source: Revebebe
... est, je l’ai trouvé : c’est lui l’homme de ma vie. Il aura mon petit trésor. Je vais le faire mariner un peu ; il faudra qu’il me mérite, mais je suis déjà folle de lui. Tu es mon meilleur ami et il fallait que j’en parle : c’est le plus beau jour de ma vie ! Bonne nuit. » Je n’ai pas dormi de la nuit. Sans le savoir, tu avais anéanti ma vie. Toutes les femmes qui ont suivi n’ont été que des passages, même ma garce de femme que j’ai trouvée avec deux hommes dans notre lit. Je lui ai fait un sketch et elle m’a viré, cette pute : elle savait tout pour toi et moi depuis longtemps.
À ce moment-là j’ai reçu ta réponse par SMS :
J’étais folle de rage ! Tu avais oublié notre anniversaire, et Jean-Phi était face à moi, toujours amoureux, heureux d’être là, seul et déprimé.
— Oh, mon pauvre Jean-Phi, il est tout triste… Il s’est fait virer par sa femme parce que sa copine Zaïa lui a offert des sucettes… Madame se fait mettre par deux hommes et monsieur est jaloux, alors qu’il se fait sucer depuis vingt-sept ans. Il est seul avec son amie alors que le mari travaille durement et ne sera pas rentré avant 19 heures. Tu sais, Jean-Phi, je l’envie un peu, ta femme. D’abord parce qu’elle a longtemps profité de ta belle queue, mais aussi parce que se prendre deux bites d’un coup, ça doit être génial ! J’aimerais bien y goûter un jour…
— Je vois que tu n’as pas changé, Zaïa : toujours ton ironie perverse.
— Je vais te remonter le moral, mais pas que.
Je me suis assise à côté de ...
... lui et je lui ai roulé une pelle monumentale, sans chichis. Ma langue est partie lécher la sienne, profondément. Je me suis collée à lui et j’ai descendu ma main droite vers sa braguette. Sa réaction a été immédiate : il a répondu avec passion à mon baiser, a maintenu ma tête pour le prolonger, et s’est mis à bander très dur sous ma main. Au bout de quelque temps, reprenant notre souffle, il m’a aidée à ouvrir son pantalon et à sortir son « calibre 22 », comme il l’appelle. Nous nous sommes à nouveau embrassés longuement pendant que je caressais sa tige, en allant doucement du nœud aux couilles. Il bandait vraiment dur, et quelques gouttes perlaient déjà sur le méat.
Il a appuyé fermement sur ma tête :
— Allez, la goulue, suce-moi.
Il n’a pas eu besoin d’insister : j’en avais envie, à la fois parce que sa bite me manquait et parce qu’aujourd’hui tu m’avais négligée. Je lui ai pris les boules dans une main pour les malaxer délicatement, la queue dans l’autre pour lui faire des allers-retours lents, et je lui ai sucé juste le gland en l’aspirant très fort et en titillant le frein avec ma langue.
— Ooh oui, c’est bon… Ta bouche m’a manqué. Attention, j’ai un peu mal… Oui, continue comme ça… t’es un vrai aspirateur à foutre ! Attends, doucement… Aaarg, salooope, avaaale !
Après quelques secondes de déglutition, je l’ai regardé dans les yeux :
— Eh bien, dis donc, ça fait longtemps que t’as pas baisé, toi : tu m’as habitué à être plus endurant.
Je suis partie à ...