Maman, Juliette et Moi 07
Datte: 20/03/2025,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica
... chaudes. À mon arrivée, les conversations se turent et des cris de surprise fusèrent. Madame Solange commença la présentation :
-- Voilà mon cobaye, un beau jeune homme de dix-huit ans que sa mère m'a envoyé pour chasser tous les vilains poils qui déparaient son côté pile et son côté face.
Je dus tourner sur moi-même sous les petits cris d'admiration de ces dames. Évidemment, j'étais en rut et j'avais l'impression que mon sexe allait toucher les murs du salon.
-- Imaginez mesdames, reprit l'esthéticienne, comme vos maris ou vos amants pourraient devenir doux et tendres sous vos mains. Faites le tour de nos amies, m'ordonna-t-elle.
Je m'approchai des quatre femmes l'une après l'autre. Elles avaient la beauté bourgeoise que procure l'argent. Elles devaient avoir l'âge de ma mère et savaient choisir leurs vêtements pour mettre leurs formes en valeur. Elles me scrutèrent attentivement sans hésiter à me toucher, à me caresser avec légèreté ou à me pincer. L'une d'entre elles souleva ma bite pour mieux tester, dit-elle, la peau de mes couilles. Je gémis de plaisir, ce qui les fit rire. Tous pareils, commenta une autre.
-- Retourne-toi, m'ordonna madame Solange, montre ton cul et ton anus.
Ces dames pouffèrent trouvant, pour certaines, que l'esthéticienne allait trop loin. Je m'exécutai pourtant et je ne suis pas certain que les clientes fermèrent les yeux. Je me penchai légèrement en avant et écartai mes fesses à deux mains. Madame Solange passa l'index le long ...
... de ma raie culière pour démontrer sa douceur. Je sentis plusieurs doigts suivre son exemple, preuve que ces dames n'étaient pas aussi farouches qu'elles voulaient le faire croire. L'une d'entre elles, une rousse somptueuse à la peau claire et aux yeux verts, saisit ma bite et me décalotta. Tout cela l'avait énervée, annonça-t-elle, en me serrant très fort le sexe. J'espérai, plein d'enthousiasme, voir la séance chavirer dans l'orgie. Mais il n'en fut rien et comme si elles avaient pris une décision collective muette, les quatre femmes m'abandonnèrent pour repartir à leur thé. Tout juste pouvais-je émettre l'hypothèse que la douce peau de leurs visages avait rougi pendant mon exhibition. Madame Solange me sortit de là et me fit parcourir tout le couloir dans l'autre sens. Je croisai deux ou trois clientes qui pouffèrent en me voyant passer toujours nu la verge au vent mise en valeur par ma récente glabreté. Enfin, je retrouvai le vestiaire où m'attendaient Caroline et Philippe remis de leurs ébats. Ils semblaient beaucoup plus naturels, comme s'ils ne craignaient plus la venue de madame Solange. Pendant que je me rhabillais sans chichis, ils me racontèrent qu'ils me connaissaient. Devant mon air étonné, ils m'expliquèrent fréquenter le même lycée que moi, mais dans sa section professionnelle sur laquelle les snobs comme moi ne jetaient jamais un œil. Ils préparaient un Bac pro d'esthétique. Je m'excusai et, en toute franchise, précisai que ma mère m'envoyait ici, mais que je ...