1. Maman, Juliette et Moi 07


    Datte: 20/03/2025, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica

    ... pris une douche rapide, m'habillai du mieux possible et filai « Chez madame Solange », institut de soins et beauté. Je n'avais jamais vraiment remarqué cette enseigne. Pour moi, comme les coiffeurs pour femmes, ce genre d'échoppe ne pouvait intéresser les hommes. Je me sentais très mal à l'aise à l'idée dans ce lieu mystérieux. Mais je savais que j'y avais rendez-vous. Je poussai donc la porte vitrée occultée d'un épais rideau de velours rouge qui fit retentir une sonnette harmonieuse. La première pièce du salon servait d'accueil et de salle d'attente. Plusieurs femmes déjà assises patientaient sans doute avant leur tour, tandis qu'une grande brune d'une quarantaine d'années s'occupait à son comptoir. Toutes les dames me regardèrent sauf elle et j'eus le sentiment que cet instant s'étirait à n'en plus finir. Enfin, madame Solange -- elle se présenta rapidement -- fit mine de m'apercevoir et me demanda ce que je venais faire. Je ne trouvais rien de plus intelligent à dire que de parler de ma mère qui m'envoyait et qu'elle, madame Solange, devait déjà savoir pourquoi.
    
    C'était une belle femme, grande, harmonieusement maquillée. Sa queue de cheval noire très tirée en arrière lui donnait un air sévère que renforçait son absence de sourire.
    
    -- Vous êtes bien assez âgé, commença-t-elle d'un ton sec, pour vous expliquer sans faire appel à votre mère.
    
    Le silence autour de moi s'épaissit comme je cherchais désespérément que répondre. Cinq femmes au moins me regardaient avec ...
    ... attention attendant à l'évidence que j'arrivasse enfin à exprimer mes volontés.
    
    Je commençai d'une toute petite voix par exposer que je venais me faire épiler. Madame Solange fit mine de ne pas entendre et je dus réitérer mes propos plus fort. Les rires grandirent derrière moi et les murmures s'amplifièrent quand je dus expliquer quelles étaient les parties du corps que je voulais traiter. La patronne, dans sa blouse de nylon rose -- on se serait cru dans un film des années soixante --, semblait perdre de plus en plus patience au fur et à mesure que je bafouillais. Elle finit par préciser à haute et claire voix que je venais faire nettoyer de leurs poils disgracieux mes bourses, mon scrotum et mon pubis.
    
    -- Et doit-on aussi, ajouta-t-elle, vous épiler la raie culière et l'anus ?
    
    Je piquai le plus intense fard de ma vie avant de répondre d'un « oui » inintelligible. Derrière moi, les rires s'étaient mués en gloussements et j'entendis plusieurs clientes demander à voir le résultat. Je ne savais plus où me mettre, j'avais les larmes aux yeux quand enfin madame Solange me pria de passer le rideau de velours cramoisi qui séparait le hall d'accueil des salles de soin. Elle m'indiqua le vestiaire où j'entrai discrètement.
    
    Là m'attendaient une jeune fille et un jeune homme. Ils portaient la même blouse que leur patronne -- bleue pour le garçon -- et m'invitèrent à me déshabiller. Comme ces gens ne donnaient pas l'impression de vouloir quitter la pièce, j'ôtai mes vêtements ...
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