Maman, Juliette et Moi 07
Datte: 20/03/2025,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica
... Étaient-ils obligés de supporter ce traitement pour garder leur emploi ou y prenaient-ils du plaisir ? En tout cas, ils avaient les yeux mi-clos et semblaient bien aller chercher la main de leur patronne plutôt que s'en éloigner. J'adore la jeunesse, conclut enfin madame Solange en leur claquant le cul. Il est temps, ajouta-t-elle, de lui redonner une peau de bébé.
Caroline se plaça à côté de moi. Elle était bien jolie dans sa blouse rose. Blonde, fine et légère, elle me faisait un peu penser à Catherine Deneuve jeune. J'étais bien trop timide bien sûr pour profiter de sa position et lui mettre la main au panier comme sa patronne. D'autant qu'au premier arrachage de cire, je compris que l'opération allait être douloureuse. Je ne pouvais m'empêcher de pousser un cri à chaque fois qu'elle décollait une bande du produit. Madame Solange me trouva bien douillet. Elle rapporterait mon attitude à ma mère, me prévint-elle.
Le soin continua, mais la souffrance devint insupportable et mes hurlements s'amplifièrent. Caroline regardait madame Solange pour chercher de l'aide. J'avais l'impression qu'on m'arrachait la peau.
-- Écarte-toi, petite gourde, commanda la patronne et toi, Philippe, mets-lui ta queue dans la bouche. Ça l'empêchera de crier.
Caroline recula en larmes, madame Solange s'installa à sa place et s'attaqua rudement à la tâche. Je hurlai de plus belle quand je sentis Philippe tout près de moi. Je me retournai pour me retrouver face à une queue de mâle à demi ...
... rigide. Philippe avait déboutonné sa blouse, baissé pantalon et caleçon et tenait devant moi son sexe mollasson. À l'évidence, la perspective de se faire sucer par un homme ne l'excitait pas plus que ça. Toujours est-il que j'ouvris la bouche d'étonnement et qu'il y engouffra sa bite. Je voulus protester, recracher le morceau de viande, mais il n'en était pas question et, pour me le faire bien comprendre, madame Solange s'attaqua à la cire qui m'enduisait les bourses. La douleur était fulgurante, mais brève et, pour tenter d'oublier tout ça et d'obtenir comme une consolation, je me mis à sucer la queue de Philippe sans bien réfléchir à ce que je faisais.
Madame Solange en profita pour faire une pause et rasséréner Caroline. Elle lui montra comme j'aimais le sexe des hommes, comme j'étais une vraie petite femelle en chaleur. Ces paroles suffirent à me faire plus apprécier ce que j'étais en train d'effectuer pour la première fois et dont j'avais, peut-être secrètement, toujours eu envie. Philippe ne disait rien, se laissait faire. Je manquais sûrement d'éducation en ces matières. Mais je ne devais pas si mal me débrouiller, car la queue que j'avais en bouche devenait de plus en plus volumineuse et dure. Cet effet magique de mon action me satisfit beaucoup et je redoublai d'efforts, aspirant et suçant tout mon saoul.
Plus un cri à présent, intima madame Solange avant de reprendre l'arrachage de mes poils. Caroline regardait sa patronne, mais je voyais qu'elle zieutait aussi ...