1. Maman, Juliette et Moi 07


    Datte: 20/03/2025, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica

    ... laissaient deviner des formes bien présentes chez Caroline et une musculature développée chez Jacques.
    
    Enfin, madame Solange franchit la porte et s'approcha de moi doucement.
    
    -- Voilà notre nouveau petit garçon, commença-t-elle, envoyé par sa maman. Vous vous en rendez compte, mes chéris ?
    
    Elle posait la question sans attendre de réponses, mais en profita pour passer la main sur l'entrejambe de Jacques et sur la poitrine de Caroline. Ils ne réagirent pas comme si ces caresses étaient naturelles. Madame Solange très impressionnante me regardait avec ce que je ne pouvais interpréter que comme un profond mépris.
    
    -- Caroline, reprit-elle, va préparer la cire.
    
    J'entendis aussitôt la jeune fille fourguiner au fond de la salle. Madame Solange tournait autour de moi, passant la main sur mon corps, me palpant, me pinçant comme on le ferait en choisissant un morceau de viande. Elle étira mes tétons jusqu'à me faire crier.
    
    -- Et en plus, il est douillet, conclut-elle. Jacques, tu devras lui bloquer la bouche quand nous arracherons la cire. Ce nigaud pourrait apeurer les clientes.
    
    Ses paroles se montrèrent plus efficaces que les claques de Caroline et je sentis mon sexe perdre de sa superbe.
    
    La jeune fille revint portant dans ses mains une vasque métallique dont s'échappaient quelques fumées délicates aux arômes agréables et compliqués. Elle s'assit sur un tabouret entre mes jambes et commença à m'enduire le bas-ventre d'une cire épaisse à l'aide d'une spatule. ...
    ... La préparation visqueuse était très chaude et je poussai de petits cris de douleur que j'essayais pourtant de contenir. Un vrai porcelet, commenta madame Solange. Le produit prenait très rapidement et j'avais la sensation de me statufier au fur et à mesure de l'avancée du travail. Bientôt, Philippe me saisit le sexe dans sa main pour laisser le champ libre à sa collègue. Je me mis aussitôt à bander contre ma plus farouche volonté.
    
    -- Regardez ! C'est bien comme me l'a dit sa mère. Il aime qu'un garçon le tripote !
    
    Caroline en rajouta dans le dégoût qu'elle éprouvait pour les hommes comme moi et Solange tenta de la consoler en lui expliquant qu'effectivement les mâles faisaient feu de tous bois comme de véritables chiens en rut.
    
    Le produit devait contenir un léger anesthésiant, car la chaleur de la cire devenait de plus en plus douce. Caroline m'en enduisit enfin les bourses puis, après un renversement du siège vers l'arrière, elle m'en colla une épaisse couche sur l'anus. Je me sentis presque fondre au contact de l'onguent et mon sexe grossit encore. Après les journées entières passées en cage de chasteté, ma queue jouissait enfin pleinement de sa liberté.
    
    Une attente de quelques minutes était nécessaire, prévint madame Solange, pour que la cire prît. Elle en profita pour me préciser que Philippe et Caroline en apprentissage chez elle lui donnaient entière satisfaction. Sans cesser ses explications, elle leur caressait les fesses et eux ne se rebellaient en rien. ...
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