1. Maman, Juliette et Moi 07


    Datte: 20/03/2025, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica

    ... sous leurs regards et les rangeai dans le casier qu'ils me désignèrent. Je me connaissais bien et, évidemment, le simple fait de me mettre nu devant deux spectateurs avait fait gonfler mon sexe. Je finis donc le corps agrémenté d'un début de belle érection.
    
    -- Tu as vu, Philippe, commença la jeune fille, je crois que monsieur est un exhibitionniste. C'est assez dégoûtant.
    
    -- Certains hommes sont comme ça, Caroline, commenta le susdit Jacques. Madame Solange va savoir le remettre à sa place.
    
    Ils parlaient tous deux de moi comme si je n'avais pas été là. J'essayais désespérément de me répéter que j'étais le client et donc le roi, mais cela ne me donnait pas plus d'assurance.
    
    Suivant les deux salariés du salon, je quittai le vestiaire et parcourus un long couloir jusqu'aux salles de soin. J'étais intégralement nu et croisai deux femmes habillées qui ne se gênèrent pas pour me regarder sous toutes les coutures. Elles exprimèrent l'une comme l'autre leur dégoût de voir un sexe dressé dans un endroit où seule la douceur devrait régner. Je crus entendre murmurer « j'espère que madame Solange va lui apprendre la vie ».
    
    Le salon proprement dit était assez vaste meublé d'un fauteuil de soin luxueux, mais aussi d'un siège plus spartiate muni de repose-pieds métalliques et de liens. Sur des tables, au fond, divers instruments et outils me faisaient plus penser à une salle d'opération qu'à un cabinet d'esthétique.
    
    Jacques et Caroline me demandèrent sèchement de ...
    ... m'installer sur le siège le moins attirant. À peine assis, ils inclinèrent le dossier de telle façon que je me retrouvai quasi allongé. C'est la seule manière, me précisèrent-ils de pouvoir bien travailler dans les endroits les plus inaccessibles de votre corps. J'étais trop abasourdi ou apeuré pour réagir. Ils continuèrent leur installation en passant mes cuisses et mes jambes sur des pièces métalliques où ils purent les fixer par de larges lanières de cuir. À partir de la taille, je ne pouvais plus bouger. Je bandais toujours assez mollement comme si au fond de moi un vicieux inconnu s'excitait de la situation. Caroline manifesta son mécontentement en me donnant trois petites claques sur le sexe. Les coups trop faibles pour être douloureux eurent évidemment pour effet de me faire vraiment grossir cette fois. J'étais fier et gêné de ma bite raide, mais après tout, elle ne m'avait jamais obéi.
    
    Pendant ce temps-là, Jacques s'était agenouillé pour actionner un dispositif que je n'avais pas repéré. Tournant une manivelle, il m'écarta les cuisses jusqu'à m'arracher un petit cri de douleur -- je ne brille pas par ma souplesse. Taisez-vous, m'intima Caroline.
    
    Ils étaient beaux tous les deux à leur façon. On aurait dit deux jumeaux ou deux êtres artificiels fabriqués à partir de composants identiques. Tailles et corpulences correspondaient aux standards des hommes et des femmes. Leurs cheveux avaient la même blondeur et leurs visages une joliesse similaire. Les blouses près du corps ...
«1234...8»