1. Le 13e étage


    Datte: 17/03/2025, Catégories: fh, voisins, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, caresses, intermast, Oral 69, pénétratio, fdanus, jouet, québec, totalsexe, Auteur: Rb07, Source: Revebebe

    ... index. C’était un autre élastique de son plaisir qu’il était si bon de tendre. Il me sembla que tous ceux sur lesquels je tirais avaient atteint leur tension extrême. Tout du corps de Sophie exprimait cette énergie potentielle qui s’était emmagasinée en elle, et qui promettait de tout faire rompre.
    
    Et les ruptures vinrent, de ses seins, de son point G, de son clitoris, de son anus. Les secousses, les tremblements, les gémissements, les doigts fous dans ce qui me restait de cheveux (probablement qu’il m’en resterait un peu moins après ce passage), le bonheur, le bonheur de sentir ma belle amante savourer un autre de ces hors-d’œuvre qui n’allait rien faire pour apaiser son appétit. Et moi, je bandais fermement dans mon pantalon, je me délectais autant du nectar qui abondait sur ma langue que de la douceur de celui que je sentais perler au bout de mon gland gonflé, les larmes de son émotion devant ce spectacle impossible. Chaque goutte qui s’en échappait était un micro-orgasme, un désir de copulation qui s’exprimait, une préparation à mille autres activités.
    
    Le plaisir était d’autant plus grand que je savais que Sophie adorait venir cueillir la rosée cristalline qu’elle me faisait produire de coups de sa langue pointue et très, très polissonne. J’imaginais déjà son gloussement de plaisir quand ses doigts agiles viendraient s’enrouler autour de mon sexe bien droit pour le faire passer sous ma ceinture, et que ses yeux coquins découvriraient l’étendue du déluge qui ...
    ... aurait déjà couvert mon bas-ventre. Mais en attendant, c’était le moment de me régaler de la finesse et la douceur de sa pêche vivante et juteuse, de me presser à elle et d’en tirer chaque once de nectar. En me relevant, toujours en bon massothérapeute pervers, je conservai mes doigts en elle, immobiles, et glissai mon torse sur ses courbes tout au long de la manœuvre, jusqu’à être assez haut pour pouvoir l’embrasser de mes lèvres encore toutes enduites de sa cyprine. Mes baisers goulus sur sa bouche entrouverte et encore haletante furent accompagnés de quelques derniers tremblements de sa part, réminiscences de l’hypersensibilité postorgasmique.
    
    — Bon matin, susurrais-je finalement à son oreille, en retirant doucement les bouts de mon corps que j’avais laissés en elle.
    — Bon matin, oui. Quel bon matin… !
    
    Nous nous embrassions, encore, tentant de rattraper toutes les autres fois où nous aurions voulu le faire, mais étions physiquement trop éloignés. À l’échelle de l’Univers, le volume dans lequel deux êtres doivent être confinés pour être en mesure de s’embrasser est incroyablement restreint. Et pourtant, cela était possible. Alors, mieux valait en profiter pleinement lorsque cet Univers nous accordait cette proximité.
    
    Ainsi, dans ce volume d’espace-temps privilégié où nous étions enlacés, mon sexe, aussi, se retrouvait compressé dans un volume restreint, d’une part par l’ampleur qu’il avait prise, de l’autre par les deux corps qui le pressaient entre eux. Je devais ...
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