1. Ophélie


    Datte: 15/03/2025, Catégories: fh, hplusag, grosseins, groscul, magasin, telnet, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral pénétratio, init, initiat, Auteur: Marcdumans, Source: Revebebe

    ... J’accède à sa grotte que ma langue pénètre. Elle a tendu ses bras devant elle et j’entends à nouveau ses doux feulements de plaisir. Je baise ses fesses, son anus et l’intérieur de ses cuisses, sa vulve dégoulinante du désir d’être investie. Je pétris ses fesses imposantes et j’ai terriblement envie de la prendre dans cette posture d’abandon, presque de soumission.
    
    — Tes fesses sont excitantes, Ophélie. J’ai furieusement envie de me glisser entre elles !
    
    Ma bouche poursuit sa course, vers sa chute de reins, son dos, ses épaules et son cou.
    
    Je place ma verge sur sa vulve trempée et la fais glisser sur l’ensemble de sa fente, avec douceur remontant entre ses fesses. Progressivement, j’insiste en poussant un peu plus sur son vestibule, sur son hymen, sans pour autant forcer la pénétration, y renonçant chaque fois pour glisser entre ses fesses dont le sillon est maintenant aussi enduit de cyprine. Ma queue est ainsi lubrifiée sur toute sa longueur. Je suis prêt à renoncer au moindre geste de refus de sa part. J’amadoue son sexe avec toute la douceur possible.
    
    Je me penche sur elle en lui chuchotant un « Toujours sure ? » auquel elle répond positivement par un hochement de tête.
    
    Je place ma verge sur son vestibule jusqu’à rencontrer la résistance de son hymen. Délicatement, j’augmente la pression et je sens que je l’ouvre. J’entre en elle, millimètre par millimètre. C’est sans doute un petit peu douloureux, malgré tout car je sens ses fesses se serrer un petit peu. ...
    ... Je finis de m’enfoncer en elle d’un coup, petit cri de sa part et je reste au fond d’elle un long moment, en l’embrassant tendrement.
    
    Mes va-et-vient, lents d’abord, s’accélèrent. Elle agrippe les draps et gémit. Je la laboure profondément, intensément.
    
    Sa respiration s’accélère et elle m’encourage à glisser entre ses fesses, dans sa grotte d’amour par des « Oh oui ! C’est bon ! plus vite ! Je vais venir… ».
    
    J’ai envie de tout lâcher en elle, mais je veux que sa première fois soit totalement réussie et je me contrôle pour ne pas céder au plaisir que la chaleur et la pression de son vagin exercent sur ma verge.
    
    Quelques minutes suffisent pour que je la sente se crisper et prononcer un « Oh, oui ! » final. Je sens ses contractions, ses pulsations enserrer mon membre au plus profond d’elle. Je me relâche, inonde son sexe de mon foutre et reste allongé sur elle, la serrant contre moi et l’embrassant.
    
    Quand nos respirations sont revenues à un rythme normal, je m’extrais d’elle. Mon sperme, abondant, en a fait autant et macule ses draps.
    
    Je m’installe contre elle et la câline tendrement, l’embrassant et lui caressant les cheveux.
    
    — C’était bon pour moi, Ophélie. Tu m’as donné vraiment beaucoup de plaisir.
    — C’était très bon pour moi aussi. Merci pour cette première fois. Je pense que ce moment de bonheur restera en moi toute ma vie.
    
    Ce moment de tendresse se prolonge et je sens le sommeil me gagner. C’est sans compter avec le désir d’Ophélie de rattraper le ...