1. La plasticité du corps ou la boucherie à l'eau de rose


    Datte: 08/03/2018, Catégories: fh, grossexe, taille, bizarre, boitenuit, collection, hdomine, pied, pénétratio, sm, gifle, sorcelleri, occasion, Auteur: David Blonfali, Source: Revebebe

    ... relevai, repliai ses jambes et prenant appui des deux mains sur ses tibias je plantai mon sexe dans son vagin trempé. Je voyais ses gros seins gigoter.
    
    Nicole soufflait toujours fort mais les yeux fermés. J’enlevai alors mon pénis, poussai un peu plus sur ses tibias ce qui eut pour effet de relever un peu son bassin. Avisant son anus j’y dirigeai mon gland. Il rentra sans aucune résistance. Je jouis ainsi, sodomisant une femme endormie, cuisses largement ouvertes, la poitrine opulente éclairée par les réverbères du camping filtrant à travers la vitre sale du mobile home.
    
    Tôt le matin je dus partir avant qu’ils ne découvrent mon nouveau visage du lendemain.
    
    C’était mon lot quotidien depuis plusieurs semaines maintenant.
    
    Hormis ces escapades lubriques assouvissant des perversités assez peu honorables, j’étais de plus en plus mal. Ayant perdu mon identité, je ne pouvais plus travailler. Je gardai mon appartement quelques jours, le temps que des regards trop suspicieux de la gardienne me fassent déguerpir. Le peu d’argent disponible sur mon compte s’effaça au bout de dix jours. Les quelques personnes de ma famille ou mes amis que je tentai d’approcher me rejetèrent, sourds à mes tentatives d’explications.
    
    Je m’étais retrouvé bien vite condamné à une vie d’errance, de rapines, de mendicité ou d’opportunisme comme au camping.
    
    Par-dessus tout, la tendresse me manquait cruellement. La plupart de mes escapades érotiques étaient lourdement teintées de ...
    ... masochisme, de violence ou d’obscénité. Je ne trouvais que des filles déjantées. Était-ce aussi une des malédictions de la bohémienne ?
    
    Je me désintéressai bientôt des performances métriques ou des oxygénées platine. Je ciblais des femmes que j’espérais les plus communes possible. Je maîtrisais mieux également les pouvoirs en ma possession. J’adaptais ma morphologie à ma cible.
    
    Alors que je traînais à picorer les restes d’un buffet dans un bal communal, j’aperçus Jeanne. Cette rencontre devait bouleverser ma vie.
    
    Pas grande, très ronde, avec des cheveux noirs et courts, les pommettes larges et rouges, les yeux petits et très bleus. Elle se tenait légèrement en retrait du bal et sautillait doucement en rythme d’une jambe sur l’autre. Immédiatement je posai mon dévolu sur elle. Un défi ? Un geste de contrition ? Une volonté teintée de voyeurisme de regarder la pauvrette au fond des yeux ? Encore aujourd’hui je ne sais pas.
    
    En l’observant je vis une timidité maladive, elle fuyait habilement tout homme qui l’invitait à danser. Son physique peu avenant ne faisait pas d’elle la première cible mais quelques bonnes âmes ou enivrés tentèrent l’approche, infructueuse.
    
    Je me mis en retrait pour me modeler. Je me fis grandir et maigrir. Un échalas maladroit, un peu voûté. Cette fille évidemment complexée s’ouvrirait certainement mieux à quelqu’un chez qui on peut soupçonner la même souffrance intérieure.
    
    Ainsi constitué, j’envoyai l’escogriffe et ses grandes canes décharnées ...
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