1. Ouverture d'esprit


    Datte: 05/03/2025, Catégories: fh, ff, fbi, couple, Collègues / Travail amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, Oral fdanus, couplea3, lesbos, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... Antoine, mais il dort beaucoup et nous trouverons bien un moment ou deux pour faire l’amour.
    — C’est bizarre, je vais aller faire du vélo avec notre voisin pendant que toi, tu feras l’amour avec sa femme. Ce n’est pas tout le monde qui accepterait cela.
    — Oh non, mais toi tu m’aimes, et tu es très large d’esprit, tu veux préserver notre amour et tu me fais confiance, tu es un homme exceptionnel, Bastien, j’en suis consciente. Mais tout le monde ne voit pas les choses ainsi.
    
    Je soupirai profondément, et me serrai contre mon chéri, attendant sa réaction, espérant que son esprit n’était pas déjà reparti au boulot. Je caressai doucement sa cuisse, je voulais le faire bander, qu’il soit dur et me prenne comme j’en avais envie.
    
    — Comment ça ? De qui veux-tu parler ? Encore des embrouilles et des indiscrétions à l’entreprise ?
    — Oh non, pas si loin…
    — Attends, tu veux dire que… Julien ne voit pas les choses aussi clairement ? C’est cela ?
    — Oui, tu as bien compris, lors de votre escapade, il veut que sa mère vienne chez eux. Séverine est déprimée, disant qu’il ne lui fait pas confiance, qu’il ne l’aime plus, que peut-être il a peur qu’elle le plaque pour moi. Tu te rends compte ?
    — Mais il est con ou quoi ? Ce n’est pas le Julien avec qui je parle vélo ça, mais c’est sûr qu’il va vraiment la perdre, Séverine, s’il la traite ainsi. Même moi, le vieux crabe, je suis plus flexible que lui. Je sais très bien que vous êtes bisexuelles et allez le rester, alors s’y opposer ...
    ... ne sert à rien.
    — Tout cela je le sais, moi, mon amour de cisgenre, mais lui apparemment pas…
    
    Ma main remontait lentement le long de la cuisse de Bastien, mes doigts touchèrent son sexe au travers le tissu de son pantalon, je le sentis durcir.
    
    — Tu es bien coquine, ma chérie, dans ta robe au ras du cul, avec tes seins qui me brûlent les yeux depuis un moment… Je crois que je vais craquer, si tu continues.
    
    Je continuai. Je passai ma langue sur ses lèvres, les forçant à s’ouvrir, les parcourant de la pointe pour exciter mon homme, pendant que mes doigts habiles dégageaient son membre viril de sa prison de toile. Pas en reste, Bastien glissa une main sous ma robe.
    
    — Oh, mais dis-donc, pas de culotte, la directrice adjointe, c’est un appel à la débauche ça, tu es déjà bien humide, je te sens en mode sublime salope !
    — Tu as raison, je veux être ta salope, celle qui te suce, qui te tend son cul, celle que tu adores baiser quand elle te provoque.
    
    Je me penchai et lui prodiguai une fellation gourmande, baveuse, le suçant comme une femme de mauvaise vie avec force bruit et commentaires salaces. Il était dur comme de l’okoumé, je me relevai et m’assis à califourchon sur lui, guidant sa queue en moi.
    
    — Lèche-moi les seins, fais-les bander aussi dur que ta trique qui me remplit la chatte !
    
    Bastien déboutonna le haut de ma robe, mes seins jaillirent et il s’en empara, des lèvres, des dents, ses mains pelotant mes globes fermement. Je me sentais couler, alors je ...
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