Les randonneuses
Datte: 04/03/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
groscul,
vacances,
bain,
hotel,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
facial,
Oral
préservati,
fsodo,
Humour
diffage,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
... donner un léger coup de reins pour être enfoncé jusqu’à la garde. Alors, c’est une autre Corinne qui lui fut donnée de contempler : soupirante, haletante, rayonnante, mouvante. La douceur de son ventre n’avait d’égale que celle de son déduit et il s’en régalait. Mais elle se régalait aussi,a contrario, de la dureté de son ventre à lui, en concomitance avec celle de son pénis. Le doux et le dur. Elle le mangeait des yeux derrière ses lunettes qu’elle avait retrouvées dès qu’il l’avait pénétrée, pour mieux le voir. Ce regard vitré fut pour lui un ajout érotique, s’il en était besoin.
Il lui dit qu’il en avait envie depuis le début, qu’il la trouvait belle, qu’il avait de la chance. Elle lui répondit qu’elle avait « vraiment besoin de ça », qu’il ne fallait surtout pas qu’il s’arrête, que c’était « vraiment bon ».
Quand elle vint sur lui pour le chevaucher et mater son torse musclé, ses propos devinrent plus crus. Elle lui parla de sa bite, « grosse et dure », lui dit qu’elle adorait son corps et qu’il pouvait lui faire « tout ce qu’il voulait, pourvu qu’il continue à la baiser ». Ses mouvements de hanches étaient si amples qu’il cogna souvent sur le fond de sa matrice, ce qui la faisait couiner comiquement. Ses cheveux détachés, tombant sur ses épaules, suivaient sa cadence comme un pendule. Elle se mordait et se léchait les lèvres, rajustait ses lunettes d’un petit geste. Elle était l’image même du plaisir sexuel au féminin.
Quand il la retourna, au lieu de ...
... s’enfoncer immédiatement en elle, il écarta ses fesses et lui mit la langue dans l’anus. Ce fessier, il en avait rêvé en le suivant sur les chemins de randonnée. Ni trop gros, ni trop petit, ni trop plat, ni trop bombé. Un fessier parfait, fait pour la main et le reste. Au contact de la langue, les fesses de Corinne se couvrirent de chair de poule. Il l’entendit roucouler. Elle était donc sensible du cul. Quand il remplaça la langue par un doigt, puis deux, elle ne protesta pas. Elle avait compris son désir. Elle lui dit seulement :
— Viens, fais-le.
Son mari ne la sodomisait jamais : trop sale. Mais ses collègues de bureau « femmes » le faisaient. Elle serait moins gourde quand elle les verrait.
Néanmoins, elle cria de douleur quand le gland força un peu rudement le passage. Kevin avait l’enculage totalitaire. Mais quand il fut entièrement engagé, une jouissance inédite envahit le corps de Corinne. Il eut la bonne idée d’accompagner le claquement des peaux par le toucher de son clitoris et l’association de la bite et du doigt la fit juter d’importance. Jamais Corinne ne s’était sentie autant baisée et elle l’exprima entre deux râles en se traitant de « salope, comme les autres », en lui disant qu’il était « un vrai salaud », mais en avouant aussi :
— Tu me sers comme un chef !
L’hommage alla droit à la queue de Kevin. Son sperme sortait de ses couilles pour se bousculer dans sa hampe. Il lui dit qu’il allait jouir et la percuta avec une telle ardeur qu’elle faillit se ...