1. Les randonneuses


    Datte: 04/03/2025, Catégories: fh, fplusag, jeunes, extracon, groscul, vacances, bain, hotel, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, facial, Oral préservati, fsodo, Humour diffage, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... totalement des jambes toujours fuselées. Mais elle lui semblait inaccessible, au contraire des trois autres qui lui avaient mis carrément la main dans le slip, ou presque. Rien de tel chez Corinne, hélas. Aussi, quand Véronique lui proposa un plan qui pouvait lui permettre d’arriver à ses fins, il crut d’abord à une farce concoctée par les facétieuses sexagénaires.
    
    — Mais non, je t’assure, elle est mûre, lui certifia Véronique.
    
    Et de lui proposer d’échanger sa chambre avec elle puisqu’elle cohabitait avec la grande blonde :
    
    — Je te laisserai la clé ce soir, tu me laisseras la tienne… et à toi de jouer ! Je te préviens seulement qu’elle ne s’y attend pas.
    
    Kevin lui rétorqua qu’il risquait un magistral râteau et qu’il l’en tiendrait responsable, auquel cas elle subirait un outrage immédiat dans sa chambre. Véronique lui répondit qu’elle ne demandait que ça, mais que non, elle n’aurait pas l’occasion d’être outragée.
    
    C’est néanmoins le cœur battant que Kevin glissa après le dîner la clé dans la serrure de la chambre double. Corinne était en train de lire un magazine, nue sous la couette, les seins à l’air et les lunettes sur le nez. Quand elle le vit, elle afficha un regard stupéfait, laissa tomber le magazine et tira la couette sur sa poitrine.
    
    — Qu’est-ce que tu fais là ? crut-elle bon de demander.
    — Devine ? répondit Kevin sans se démonter.
    
    Et de s’asseoir au bord du lit en lui expliquant qu’il était venu « lui faire l’amour », car il en « mourait ...
    ... d’envie depuis le début ». Il joignit le geste à la parole en glissant une main sous la couette, atteignit une cuisse qui se déroba sous les protestations de sa propriétaire. Il insista et une courte mêlée s’engagea durant laquelle la main de Kevin atteignit le sexe de Corinne. Il était brûlant. Il accompagna le geste d’un baiser et Corinne rendit les armes avec une surprenante rapidité. Elle en perdit ses lunettes sur le drap. Le plus drôle est que cet abandon du corps s’accompagna de dénégations frénétiques de la bouche :
    
    — Non, je ne veux pas, ce n’est pas possible, je suis mariée, tu exagères, enlève ta main, tu vas me faire avoir des ennuis avec mon mari, arrête, je ne suis pas venu faire des randonnées pour ça, s’il te plaît, non, je ne suis pas celle que tu crois, etc.
    
    Mais plus elle parlait, plus elle s’humidifiait sous le doigt fureteur de Kevin, plus ses cuisses s’ouvraient, plus la couette glissait, découvrant que les années n’avaient en rien altéré son corps, si ce n’est un peu plus de chair sur les seins, le ventre ou les cuisses. Et quand il baissa son pantalon en même temps que son slip pour dégager un véritable manche de pioche, le premier réflexe de Corinne fut d’arrêter ses protestations pour le prendre en bouche et le sucer avec voracité.« Bon Dieu, se dit-il,on dirait qu’elle n’a pas mangé depuis un mois ».
    
    Quand il fut nu et coiffé d’un préservatif, elle prit son pénis à deux mains et le porta entre ses cuisses grandes ouvertes si bien qu’il n’eut qu’à ...