Les randonneuses
Datte: 04/03/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
groscul,
vacances,
bain,
hotel,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
facial,
Oral
préservati,
fsodo,
Humour
diffage,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
Quand Kevin apprit, en cette fin d’été, qu’il devrait accompagner quatre femmes dans leur randonnée de quatre jours en moyenne montagne, sa première réaction fut de s’en réjouir. Célibataire, en pleine santé et à peine trentenaire, cheveux bouclés et barbe soyeuse, les occasions de bonnes fortunes n’étaient pas si nombreuses et ce serait bien le diable si l’une de ses accompagnatrices ne lui accordait pas ses faveurs lors d’une des quatre étapes prévues au programme.
Mais lorsqu’il vit débouler les quatre randonneuses, il déchanta. Une avait les cheveux blancs, deux autres les avaient teints en blond et la quatrième les masquait à peine sous ses frisettes. Quatre « matures », bon poids, entre la cinquantaine et la soixantaine.
Néanmoins, elles ne manquaient pas de dynamisme, et c’était toujours ça ! Marcheuses d’expérience, leur condition physique semblait bonne et elles portaient le sac à dos sans souffrir. Les présentations furent vite faites. Celle aux cheveux blancs s’appelait Véronique, grande asperge aux longues jambes qu’un short court mettait en valeur, il fallait l’admettre. Une autre, prénommée Arielle, s’annonça comme ancienne prof de gym, joueuse de tennis de bon niveau, et en avait conservé un corps visiblement musclé, mais un visage particulièrement ridé par l’exposition trop prolongée au soleil. La plus ronde, Françoise, semblait assumer ses formes sans complexe au point de montrer généreusement ses seins dans un débardeur au décolleté en U. La plus ...
... sexy,a priori, et la plus jeune, Corinne, la cinquantaine à peine entamée, fausse blonde, avait su conserver l’essentiel d’un corps qui avait dû éblouir les hommes dans sa jeunesse et semblait très attachée à préserver l’acquis. Toutes s’annoncèrent mariées ou en concubinage avec « visa de sortie », pour reprendre l’expression de Véronique, ce qui fit rire les autres femmes qui, précisons-le, ne se connaissaient pas avant cette randonnée.
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Comme bien on pense, dès les premiers kilomètres accomplis sur un plateau désertique, les conversations allaient bon train entre les quatre pipelettes. Kevin marchait en tête et écoutait distraitement les propos de ses accompagnatrices, tournant autour de leur vie quotidienne, leur travail, ancien ou actuel, leur conjoint, leurs enfants ou petits-enfants, etc. Il prévoyait déjà un ennui incommensurable et ce serait déjà bien beau si elles ne lui compliquaient pas la vie. Au moins, elles étaient gaies. Il était cependant loin de se douter des événements qui allaient survenir.
Ce jour-là, il faisait chaud. Après s’être arrêtés déjeuner pour un casse-croûte sommaire, ils avaient poursuivi sous le cagnard et l’allure ralentie. Le parcours longeait un lac artificiel et Françoise, la rondelette, s’exclama soudain :
— J’ai trop chaud, j’ai envie d’aller à la flotte, c’est trop tentant.
Elle gagna la berge en trottinant avant de poser son sac et, ô surprise, se déshabilla entièrement. D’abord le débardeur et le soutif, puis le ...