1. Les derniers soupirs


    Datte: 04/03/2025, Catégories: hh, hplusag, hotel, amour, Transexuels confession, policier, Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe

    ... s’exclame une Charlène habillée pour sortir, en short de cuir court, laissant paraître ses longues et douces jambes et ses talons.
    
    Elle porte un haut rouge, serré, à fines bretelles, sans soutien-gorge, semble-t-il, et ses cheveux en queue de cheval contournent son épaule et tombent sur ses seins. Raïssa masse gentiment les épaules de Malika en s’attardant derrière elle :
    
    — Bonne idée ! Mais avant tout, j’aimerais savoir…
    
    Elle s’assied sur la table entre Malika et moi en faisant un petit saut. Elle est en jeans, moulant son cul à merveille et une petite chemisette échancrée, blanche, contrastant avec son épaisse chevelure noire.
    
    — Malika, quand Richard t’a dit « connaître les points faibles » de notre ami ici, qu’est-ce qu’il t’a dit ? continue Raïssa en connaissant parfaitement la réponse, mais voulant l’entendre de Malika.
    
    Malika m’a jeté un coup d’œil complice, Raïssa et Charlène aussi, Malika a dit en riant :
    
    — Vous le savez bien ! Il aime qu’on joue avec son cul !
    
    Raïssa s’égaye en entendant ces mots et poursuit le questionnaire :
    
    — Et comment joues-tu avec le sien ?
    
    Malika se tourne vers Charlène, les yeux faussement outrés, la moue sarcastiquement indignée :
    
    — Tu lui as dit ?
    
    Charlène hoche la tête, souriante : « Oui, j’ai raconté à Raïssa mon «opération de séduction ratée» envers toi. Et nos confidences… il y a peu d’enculeuses qui se rencontrent, finalement ! » Raïssa bondit sur ses pieds, lève un doigt, ingénue :
    
    — Je vous ...
    ... rappelle, mesdames, que c’est moi « la première », qui ai pu ouvrir la fine barrière de son anus !
    
    Les trois femmes rigolent ensemble et je suis « faussement » découragé, je tente de dire un mot, puis deux, mais les trois femmes discutent ensemble rapidement, je ne peux me faire entendre, je dis seulement :
    
    — Oubliez pas que je suis là, youhou ! en faisait un signe de la main, mais elles m’ignorent.
    
    Malika vient de leur proposer de leur montrer sa collection d’objets sexuels. Ce sont trois obsédées du sexe. Qu’ai-je donc fait pour en arriver là ? Je les rejoins dans notre chambre après avoir terminé mon café. Malika a tout posé sur le lit, en ordre de grandeur, du simple plug en métal, à celui connecté qu’elle a porté au restau de bord de fleuve, lors de vacances. Puis les godes non réalistes, arc-en-ciel ou en pierre, les vibromasseurs clitoridiens, puis les dildos plus réalistes, à ventouse, que Malika utilise le plus souvent avec son harnais. Elle leur montre aussi les menottes, les poids à pince, les petites roues dentelées :
    
    — Vous utilisez ça des fois ? sonde Raïssa en tenant une de ces petites roues.
    — On n’a pas essayé encore.
    
    Charlène tient dans sa main le plus gros godemichet que Malika possède :
    
    — Et ça, tu l’as utilisé sur lui… ?
    — Non, quand même pas ! répond-elle en riant.
    
    Raïssa enfile un harnais, Malika l’aide à bien l’accrocher à ses hanches : à regarder ces trois femmes dans la chambre à coucher, avec Raïssa se réjouissant de porter un ...